Echec A La Reine.(PV: Vladimorvna)

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En ce beau debut d'apres-midi londonien, les rayons du soleil filtrés par quelque nuages blancs, adoucissait cet étrange chaleur qui s'abattait depuis quelques temps en Angleterre. Les étales et les boutiques grouillants de monde, ressemblaient a des fourmilières, le bruit des pas et des henissements des chevaux semblaient etre en concurrence avec celui des crissements de charettes et des calèches, malgré ceci la mafia s'est installé et on voyait clairement que cela commencait a se sentir, de plus en plus d'hommes armés, et des reglements de comptes, des hotels et des casinos chaque jours, des terrains et des sociétés de plus en plus voyantes, Quoi de plus pour appeurés des gens déja noyé dans la peur de la mort qu'un deuxième moyen de rejoindre l'aude-la ?. Parmis les nombreuses boutiques , Victoria sortie d'une d'elle, vetue d'une jolie robe verte accesoirisée par un bustier extérieur du meme tons, et de larges manches emplies de dentelles noirs, et dont le bas certie de dentelles sombres glissait tel un serpent derrière le jeune duchesse. Deux Hommes en costards et chapeaux a ses cotés, et son majordome derrière portant ses emplettes.
'' Bien emmenez tout sa au Manoir, et que l'on vienne me prevenir des l'arrivé de la marchandise ainsi que de Lugio Cavatayo !'' a ces mots le jeune Lady se dirrigeat vers les quartiers nobles, ajustant son chapeau a larges rebords de sorte a ce que seulement une partie de son visage d'ange innocent et insoupconable ne puisse apparaitre. Ses cheveux platines tombant sur son bust, elle avait le pressetiment de rencontrer quelqu'un digne d'une partie d'échec. Pendant quelle marchait ses sens étaient en éveille, en entendant les rires des gens mais aussi leurs messes-basses, les vantations des marchands ambulants, le chargement et déchargement des marchandises pour les boutiques. Pensive, elle calculait les risques que cette maladie pouvait engendrés sur ses affaires, si sa continue se dit-elle je m'en irais a mes plantations en Amérique !, de plus elle devait faire quelque reglement de compte au familles mafieuses, eh oui on défend sa part et on respecte celle des autres..... Soudain elle bousculat une personne, et faillit etre ejecté a terre, raustant sa chevelure brillante tel un champ de blé, elle leva son regard aussi pur que la Méditérannée vers l'inconnu. et dit ceci de sa voix angélique mais qui inspirait le respect.
'' Excusez-moi, Rien de casser ?''

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Cette jeune fille que Vladimirovna ne peut qualifier que d'étourdie, elle ignore dans un premier temps son interpellation. Cependant, s'avouant que sa jolie voix ne peut laisser personne de marbre, elle accepte de la regarder. D'abord dans les yeux, puis pris le temps de l'inspecter de haut en bas. Cette personne qu'elle appelle généralement « petite chose » ou encore « adorable jouet » mérite le deuxième surnom. En effet, malgré elle, elle la trouve particulièrement jolie ou alors... non, « jolie » n'est pas le mot. « Adorable », presque... « Adorable jouet » est le meilleur, sans aucun doute. La petite lui faisant penser à une mignonne poupée de céramique et ressemble également avec son curieux petit visage à un petit animal, un petit chien : une bestiole dont il faut s'occuper pour que celle-ci reste douce et pétillante. Un adorable petit jouet que n'importe qui a envie de se procurer. Quelle chance pour Vladimirovna, c'est elle qui est tombée dessus.

« Allons allons, pas la peine de rendre la situation compliquée avec toutes ces marques de politesses. » ricane-t-elle, sous le charme. « Je n'ai rien, rassures-toi. »

Rassures-toi. Elle la tutoie. Oui, une adorable poupée avec qui on se permet d'être familier, juste parce qu'on a l'impression qu'elle nous appartient déjà. Pour l'hybride, c'est cependant bien plus drôle lorsqu'il s'agit d'un humain. Elle l'imagine déjà avec un petit noeud rouge ou vert au cou. Et pourquoi pas, l'obliger à faire une mine boudeuse qui la rend non seulement capricieuse, mais aussi terriblement craquante. À ces pensées, elle ricane encore, son imagination dépassant sa satisfaction. Elle s'approche d'un centimètre et saisit une boucle des cheveux blonds de la petite pour la tortiller sur ses doigts.

« Tu m'as l'air bien jeune. Quel âge as-tu ? »

Elle plonge de nouveau son regard dans une contemplation. Celle-ci a les cheveux plus que blond : ils sont teintés d'une couleur à la fois pâle et chaude. Un curieux mélange d'ocre et de gris. Ses yeux, c'est sans doute son élément préféré. Ils sont rouge sang. Ses longs cils accentue ce magnifique visage de poupée à vous faire tomber par terre. Même ses petites mains sont mignonnes. Lorsqu'elle en saisit une, c'est en prenant son temps qu'elle examine calmement avec un petit sourire à la fois amusé et adouci cette paume, ces doigts, ces ongles. Puis on en vient aux vêtements. Une petite robe rouge, parsemée un peu partout de dentelles. Enfin, un dernier détail attire son attention : un diamant. Un saphir sans doute, vu sa couleur bleue océan. Elle aime tant les bijoux et surtout les pierres précieuses. Celui-ci met bien en valeur la jeune fille qu'elle est, la seule partie qui laisse penser qu'elle est bien plus mature qu'un petit chien. Formidable. Tout simplement formidable.

Tutoies-la encore. Regardes-la encore. Souris-lui encore. Ricanes pour elle, encore. Si fraîche, si mignonne, si adorable, si attendrissante. On peut avoir envie de la croquer. Sauf que Vladimirovna n'a nulle intention de briser ce petit bijou, de lui faire du mal. Jouant encore avec sa mèche de cheveux, c'est maintenant qu'elle décide de s'amuser.

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Ravie de ne pas avoir, fais de mal a le jeune femme quelle venait de bousculer, Victoria affichait son sourire angélique, papillonnant de ses grands yeux bleus océans, qui avait perdue leurs teintes rouge sang. Mais elle fut tout de meme surprise par le ton doucatre de la jeune femme, et surtout le fait quelle la tutoie, enfin elle n'était pas dans une reception mondaine ou en pleine réunion avec ses chèrs compagnons mafieux. sur-ce elle n'en fit guère la remarque. La jeune duchesse, remarqua aussi que son interlocutrice, la détaillat, il faut dire quelle meme en fit autant. Aux premiers regards la jeune femme était blonde et vetue d'une somptueuse robe hors-de-prix, couleur violet foncé presque grenin, brodée de fils dorrés et d'autre petits accessoires. Beaucoup aurait dit quelle était de la noblesse, mais Victoria avait des années d'expérience et avait developpés une sorte de sixième sens que Don.Vito appellait ''oeuil d'aigle''. Victoria plongea son regard désormais bleus dans ceux de la femme dont elle ignorait d'ailleurs le nom et vit quelque chose quelle meme avait endurer a partir du jour de son enlevement, le faim, la souffrance....aujourd'hui encore la jeune duchesse se rapellait ses phrases aussi tranchant qu'une lame ''a coups de batons et de fouet vous apprenderait la souffrance et l'endurance !'' ''On vous affamera pour que vous voliez, battez, et meme TUEZ ! suivez votre instinct de survie !''....Victoria avait la nette impression que la jeune femme ne se doutait guère de la face caché de la jeune noble...de son autre reflet...Sur-ce Victoria avec son adorable frimousse d'ange dit de sa voix fluette et cliquetante tel une clochette dans une brise printénière.
_ Je me nomme Victoria Mccroffed, et j'ai 14 ans pour répondre a votre question !
bien-sur elle ne dit guère son rang dans la société noble, elle n'était pas arrogante ou impressioné par ce grade quelle jugeait utile seulement pour les honneures et pour les terres. Et ne demandat point l'age de la femme par politesse....Mais quelque chose l'intriguait...vraiment !

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Vladimirovna retient un hoquet de surprise. Une si jeune fille, faisant probablement partie de la noblesse, et aussi adorable soit-elle, avec de telles parures ? Elle a affaire à un vrai petit bijou. Presque aussi beau que les "précieux" qu'elle récupère auprès de ses victimes. Elle retient un petit rire, mais le laisse finalement s'échapper. Un petit rire à la fois amusé et satisfait. 14 ans, un âge plutôt facile. Facile pour une jeune fille aussi adorable, puisqu'elle peut, oui elle peut, elle est si jeune...

Elle peut s'emparer d'elle.

Non pas de son âme, non pas de sa vie, non pas de sa beauté. Mais d'elle-même. Elle, toute entière. Ce serait une première merveille ajoutée dans son "coin". Une poupée qui bouge, qui parle, et qui est naturellement mignonne à croquer. Une petite poupée avec laquelle on sourit du matin au soir, que l'on chouchoute, que l'on gâte, à qui on confit tout ses petits secrets. Le plus grand caprice de l'hybride : emmener avec elle chaque être humain ressemblant à ces poupées fragiles de porcelaine. En plus de ça, elle détient un adorable nom. Victoria. Jeune Victoria. Petite Victoria. C'est parfait.

Vicky.

Elle tourne autour d'elle, songeuse. Quel vêtement peux-tu lui mettre ? Elle est si jolie avec sa gracieuse chevelure d'or et scintillante et ses petits yeux virant du bleu au rouge. Oh, je te promets de te chouchouter, ça oui tu as ma parole ! Excitée d'avoir trouver un tel jouet, elle sautille un moment sur place, les mains jointes sur son visage. Comme un enfant ravi de découvrir son cadeau de Noël, elle tourne encore et toujours autour de la jeune fille. Voyons, quelle couleur te correspond le mieux ? Le bleu est pure et triste, le blanc est scintillant et souillant, le noir est troublant et mystérieux...

« Le rouge ! Bien entendu ! »

Le rouge. Le rouge est beau comme le sang, le rouge brille au soleil, le rouge est aveuglant, le rouge est révélateur, le rouge est la bonne couleur. L'hybride s'emporte, comme si "Vicky" lui appartient déjà. Son petit côté égoïste reprend lentement le dessus. Bientôt, elle ne tiendra plus et s'empara d'elle avant de s'enfuir comme un voleur. Seulement, l'image de la petit Vicky s'affiche dans son esprit et s'y accroche autant que l'envie de la russe de l'emporter avec elle.

« Un adorable noeud papillon blanc avec un saphir brouillé serait merveilleux juste là ! Et puis pourquoi pas une toute petite tenue jusqu'ici ? Oh oui, des rubans de ce côté-ci et là seraient absolument sublimes ! Hi hi hi... ! »

Elle s'emporte, pointant au fur et à mesure la jeune fille dans les divers endroits là où sa nouvelle petite poupée est celle dont elle rêve. Sa folie dépassant presque sa volonté, l'emmener avec elle est maintenant la seule chose à laquelle elle aspire. Bien sûr, elle songe depuis un moment d'attendre, mais sa beauté dépasse largement l'entendement ordinaire et sa si douce petite voix de jeune fille.

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Victoria était quelque peu déçue, du fait que la Dame n'eut révéler son nom ! franchement cela fait partie des principes polie d'une conversation, enfin c'est ce que lui répéter son majordome du matin jusqu'au soir...Sur-ce, les yeux bleus azur de la jeune Lady regardèrent amusé, un drôle de manège, la jeune femme tournait désormais autour d'elle, comme si elle était une de ces poupées en porcelaine fragile qu'on expose dans des vitrines, a l'affut du moindre regard mais a l'abri des mains. De toute façon Victoria était habitué ce genre de comportement a son égard, le fait qu'on la prenne pour un fragile jouet, et pourtant sous ces traits d'ange, se cache un monstre qui n'apparait que trop rarement...
La jeune Duchesse, pensa un moment...Elle avait une matinée de libre, avant l'heure du thé, lors de son entretien avec la famille Rainworth pour les prochaines acquisitions dans les colonies anglaise en Amérique, puis sa leçon de physique et de violon avant le diner qui aura lieu au Royal Victorian Restaurant, avec certaines personnes qu'on ne soupçonnent guère la gravité de leurs actes, Voila ! Pourquoi ne pas inviter cette charmante Dame a un déjeuner au Glorious Restaurant, ceci est une merveilleuse idée ! Comme cela elle pourrait en apprendre plus sur son interlocutrice.
Merveilleuse idée ! Fabuleuse idée ! Elle déjà très curieuse sera ravie d'en connaitre un peu plus, mais étrangement les agissements de la Dame a son égard l'interloqué, on dirait quelle avait a faire une pièce de collection. Après tout, elle avait l'apparence d'une poupée mais aussi ses caractéristique par moment, comme si par moment son cœur la quittait et n'était alors qu'une simple poupée sans sentiment ou réaction...

Victoria surprit la jeune femme, plongée dans ses pensées, et semblait réfléchir sérieusement comme si cette décision était des plus importantes, tournant toujours autour d'elle, elle semblait très concentrée. Enfin....Relevant son petit visage de poupée vers elle, Le jeune Lady dit toujours avec sa voix douce au timbre cliquetant.
_Milady, pourquoi ne pas aller prendre une collation au Glorious Restaurant ? Nous pourrions discuter, sans être interrompue. Après tout elle avait raison, avec tout ce monde qui affluait de partout cela était terriblement gênant surtout, avec les voix fortes des cochers, les cris des marchands, les exclamations des Lady beaucoup trop -commune- comme le dit souvent Victoria, Enfin ! Elle devait s'y habituer.

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Trés vite, trop vite, Vladimirovna reprit son calme. Allons, elle est si mignonne, c'est bien normale que quelqu'un réagisse de cette manière, lorsqu'on aspire à l'emmener avec elle comme quelqu'un prévoit de poser son futur trésor tout en haut de son étagère, l'endroit où il n'y a pas de poussière, la meilleure place avec vue sur toute la pièce. Elle ne doit pas faire attendre son adorable "Vicky". Elle secoue légèrement la tête de droite à gauche avant de cligner des yeux deux ou trois fois. Les mains jointes, elle reprend calmement sa respiration et réponds de sa voix enjouée :

« C'est avec grand plaisir que j'accepte ! »

Malgré le fait qu'elle soit plus gourmande de diamants et de plaisirs personnels que de nourriture... il lui faut bien un prétexte pour apprendre à mieux connaître sa trouvaille. Il se retient à temps de lui prendre la main, voulant garder le contrôle d'elle-même pour le moment. S'il elle s'est emportée quelques minutes trop tôt, c'est tout simplement parce qu'elle n'a jamais eu affaire à un bijou pareil. Elle laisse sa précieuse la dépasser, avant de la suivre, retenant chaque petit rire à chaque seconde, se balançant de droite à gauche, lentement. Elle est cependant tellement « hypnotisée » par ce trésor qu'elle convoite tant qu'elle ne remarque pas l'enseigne du fameux restaurant où elle souhaite l'inviter.

Le décor lui plaît, élément qu'elle ne prévoit pas. L'ornement des lampes, des murs et tout autre moindre détail lui rappelle la lumière que rend ses pierres précieuses reflétées au soleil. Du rouge, du bleu, de l'or, de l'argent... non, non surtout pas. Surtout pas cette horrible couleur trop claire. La présence des autres êtres normaux la dérangent au plus haut point, brouillant l'envie de sentir uniquement celle de sa Vicky. Enfin, elle prend place sur un siège, juste en face de son interlocuteur blond.

Ce qui l'intéresse le plus cependant, c'est bien son adorable petite poupée et non la carte devant elle... Et ricane soudainement, étouffant ce son dans le tissu de sa grande manche.

« C'est vraiment bête de faire connaissance sans que l'autre ne donne son nom, huhu... Je suis Vladimirovna Dragomirov, je suis russe. Avant toute chose, Vicky... Hum, crois-tu en l'existence de certains êtres ? »

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Victoria souriante tel un ange, se dirigea donc vers le Glorius Restaurent, elle était ravie et très joyeuse, en effet rare sont les fois ou elle rencontre une personne aussi gentille et sympathique, cela l'aidait évacuer tout le stress mais aussi le surmenage entre ses deux vies...sans oublier toute les réunions, diners et autres réception mondaines ou d'affaires. Enfin ! Elle aller se diriger vers ce restaurant ou elle avait ses habitudes, non pour un déjeuner d'affaire, mais pour s'amuser et aussi connaitre un peu plus cette étrange femme blonde qui jusqu'a maintenant ne lui as guère révéler son identité.
Traversant ainsi le chemin pavés de dalles par endroit irrégulières, se dirigeant vers la fière bâtisse de brique rouge s'élevant au milieu d'un faubourg londonien fréquentait le plus clair de temps par de riches commerciaux occidentaux ou orientaux. Gravissant les marches en marbres noirs du restaurant, en relevant légèrement sa jupe. La jeune noble arrivât devant la double porte en cèdre, laissant le portier le soin de l'ouvrir. Les deux jeunes femmes pénétrèrent donc dans le Glorius Restaurent.
Un laquais vint débarrasser Victoria de sa capeline en soie blanche, avant de les conduire vers la table habituel de la jeune noble, traversant un hall dont le sol en marbre noir se mariait a ravir avec les murs dorés et écarlate offrant un effet de couleur solaires et enflammés. Le petit groupe donc âpres avoir contournait une salle de réception et pénétrait dans la salle de restauration, gravirent quelques marches menant a une sorte de terrasse possédant une vue imprenable sur le Thames River.
Le jeune laquais, tira légèrement la chaise de la jeune Lady avant de s'occuper de la dame. Ceci étant donné quelle était une de leurs plus influente cliente au sein des affaires commerciales.
_ Merci Beaucoup Fenrir ! dit la jeune noble en souriant.
_ Ceci est la moindre des choses répondit ce dernier, avant de s'incliner et de s'éclipser.
Tout le monde a Londres Connaissait La jeune Duchesse Mccroffed, et la respectait pour ses valeurs et sa gentillesse envers autrui. Cette dernière se tourna vers la jeune dame aux cheveux blonds lorsquelle lui dit ces mots.
« C'est vraiment bête de faire connaissance sans que l'autre ne donne son nom, huhu... Je suis Vladimirovna Dragomirov, je suis russe. Avant toute chose, Vicky... Hum, crois-tu en l'existence de certains êtres ? »
L'aristocrate afficha un sourire angélique des plus éclatant sur son adorable frimousse de poupée, même si lui donnait un surnom était une preuve de grand familiarité et de complicité, enfin...oublions !
_ Je suis ravie de vous rencontrer Milady !, j'ai toujours rêver de visiter la Russie. Enfaite l'un de mes rêves et de faire le tour du monde ! répondit la jeune Mccroffed.

Vladimorvna, jeune russe aux cheveux blonds qui était son interlocutrice, lui avait demandé si elle croyait en certain êtres ? mmmh qu'allait-elle lui dire ?!
_ Eh bien cela dépend ! ajouta la Lady.

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Le décor a beau être classe et original au niveau des couleurs et des formes de mosaïques qui arpentent les murs et le sol, une chose captive toujours l'attention de l'hybride : cette jeune noble qu'elle a en face d'elle. Son impatience la reprend. Elle se retient en permanence, ainsi qu'en ce moment même, de l'arracher de sa chaise et de l'emporter en survolant les toits. Hélas, elle se rend compte que celle-ci semble avoir une bonne réputation à tenir après le passage du serveur, qui lui-même connaît son nom entier et se permet de lui sourire. Sourire... Ce si joli sourire que Vicky lui a offert était pour elle ! Le sien ! La soudaine envie de faucher son âme au jeune homme lui prend. Tuer quelqu'un, quel que ce soit la raison, ne lui importe plus beaucoup, puisque son travail l'a presque totalement changer sur la vision de la chose.

Mais non... si elle tue, c'est pour une chose. Juste pour une chose : la justice. Et cette justice là qu'elle voit selon l'attitude du serveur, c'est celle de la propriété. Il n'a pas le droit de dorloter – si on peut dire – sa petite Vicky comme ça. Dés lors où elle l'a décidé, elle lui appartient, et c'est tout. La décision d'un mythe est irréversible. Finalement, elle tente de se ressaisir : elle ne veut surtout pas donner honte à sa jolie poupée dans ces conditions. Alors, elle réfléchit. À sa réponse. Et sans aucune hésitation, elle tapote la nappe de la table d'un air mi-moqueur mi-satisfait. À vrai dire, rien de bien méchant.

« Des choses comme les démons, les anges, ou encore... les shinigamis et même les hybrides. »

Elle soulève un magnifique verre à pied récemment rempli de vin. Un vin très rouge, si rouge que certains peuvent le confondre avec du sang. Elle fixe la boisson qu'elle ne pense pas avaler, puisqu'un hybride n'en a pas franchement besoin. Mais elle reste un mythe mi-humain mi-shinigami. Si elle prend une collation, elle sent son goût et parfois sa fraîcheur. Elle regarde ce vin tourner lentement dans le verre qu'elle s'amuse à faire basculer.

« As-tu déjà entendu parler d'un mythe ? Celui du Dieu du Jugement ? »

Elle lèche sur ces mots le bord de l'intérieur de son verre après le passage de sa boisson.

« Selon la légende... » continue-t-elle après l'avoir entendu des dizaines de fois par des inconnus. « Une jeune fille punirait par la mort tout ceux qui osent entraver ses envies. C'est un peu l'équivalent d'un shinigami puisqu'aujourd'hui... certains racontent l'avoir vu punir d'autre crimes... »

Elle laisse sa phrase en suspens, n'attendant qu'une chose : la réaction de son adorable poupée. Bien sûr, le reste de sa version est un mensonge : jamais personne n'a pu partir en vie après avoir vu quelqu'un se faire « punir » par la jeune femme russe.

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Victoria gardé toujours son sourire, on pourrait même croire qu’il est sculpté sur ses lèvres rosées tant il ne quitte jamais sa petite frimousse d’ange. Malgré la douleur de ses blessures au niveau de ses mains, qui ferait enragé plus d’un, mais pas notre duchesse. Cette dernière jouait avec les plis de la table en lisant la carte dorée, sur laquelle était gravé d’une écriture penchée et clair le menu. Tournant son visage enfantin et angélique vers la jeune femme qui lui dictait les différentes créatures quelle connaissait a travers les contes de fées et des légendes. Elle avait certes l’apparence d’une enfant, mais il ne faudrait pas exagéré !
_ Non pas du tout, je ne crois pas aux légendes et autres, pour moi chaque chose a une logique !
La Lady appela le même serveur, qui répondait au nom de Fenrir, et demanda un Morning Drop Tea, et des coulant au chocolat, ce dernier servie un peu de vin rouge écarlate égal a du sang dans un des verres en cristal d’une propreté exemplaire.
Notre adorable aristocrate, ne croit guère au légende et encore moins aux créatures surnaturel, il faut dire quelle fait partie d’un de ces personnes qui trouvent toujours un sens a une démonstration d’illusion ou n’importe quel comte de fée !.
La jeune russe, continua ses dires par une certaine légende…une jeune femme qui chatie les humains…Mmmh ? Intéressant ! pensât la jeune femme, une sorte de jugement si je ne m’abuse ?...Alors Pourquoi notre jolie Victoria est-elle toujours en vie ? Elle qui fait partie d’une organisation criminel qui ne cesse de s’étendre….et qui arrivera presque jusqu’en Amérique. La fameuse Cosa Nostra ! Ou encore les nombreux crimes quelle a commis en son passé de Phantom ? L’assassin au visage d’ange qui n’as aucun cœur ni aucun remord….Elle Qui les nuits ne cessent de murmurer seule dans sa chambre cette même et éternel phrase…’’Longtemps j’ai crains que mes péchés ne reviennent me hanter et c’est plus que je ne peux le supporter’’ Pourquoi ? Elle aurait voulu dire cela a la russe, mais elle savait que cette vérité pourrait peut-être la choquer…La jeune fille sentit ses mains trembler, signe que ses blessures sont entrain de se renfermer…
Le jeune Fenrir, vint en poussant un chariot en métal immaculé, sans la moindre tache ou éraflure, dont l’éclat est égal à de l’argent. Sur lequel était disposé, un service à thé en porcelaine, finement ouvragés, sertie de larges traits bleus et de plus fins dorés, et en bas des rosiers s’entrelaçant autour de fontaine. Une lourde théière dont la vapeur et le parfum embaumait la petite terrasse, des coulants au chocolats garnie dorés et recouverte d’une fine couche de chocolat noir agrémenté de copeaux d’érables étaient délicatement disposé dans une assiette creuse.
_ Merci Beaucoup ! fit Victoria en glissant un billet de 20 livres sterling dans le pourpoint du jeune homme.
_ Milady, répondit le jeune homme en s’inclinant respectueusement devant les deux jeunes femmes.
La jolie poupée de porcelaine se tourna vers la russe et dit de sa voix douçâtre et fluette.
_ J’espère que vous apprécierez ! Le thé est plus penché au niveau des fleurs d’orangers et les coulants aux chocolats absolument exquis !
La jeune fille, prit une tasse de thé et la sirota lentement croquant par moment une des délicieuses pâtisseries.
_ Et bien-sur je ne crois absolument pas en ces mythes de contes de fées. Ajouta-t-elle en souriant angélique.

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L'hybride fixe intensément sa jeune poupée d'un regard mi-satisfait mi-sceptique. Comment ne pas craquer devant un si joli visage savourant une telle douceur même si elle n'en connaît pas moins le goût elle-même ? Ce qu'elle n'avait cependant pas prévu, c'était que la jeune fille avoue ne pas croire aux mythes et encore moins au surnaturel. Intelligente comme elle paraît être, Vladimirovna était pourtant sûre que sa réponse allait être différente. Faire plus ample connaissance sera plus difficile que prévu. Machinalement et sans prendre compte de l'expression de la jeune fille, elle tortille entre ses doigts une mèches des cheveux blonds de son adorable poupée, tournant légèrement de gauche à droite sa tasse de thé sur sa soucoupe de l'autre main. Elle doit faire attention à ne pas l'abîmer.

« Vraiment ? C'est bien dommage. Tu va donc devoir parler de toi en premier. »

Puis, dans un bref geste, pose un instant ses lèvres sur la dite mèche avant de la laisser retomber sur le visage de son propriétaire. Les yeux fermés, posant son menton sur ses mains jointes, elle sourit jusqu'aux oreilles sans prendre comte de la distance entre leurs visages qui raccourcie volontairement.

« Je t'en dirais plus sur moi si tu le désires plus tard. »

Derrière sa Vicky, elle vit le même serveuse passer, sur le point de se baisser pour lui adresser la parole. Mais il n'eut pas le temps d'en placer une qu'il reçu aussitôt un regard noir de la part de la jeune femme russe. Ce regard qui s'avoue être insistant et long, le jeune homme fait demi-tour. Son sourire blanc de retour, elle jette néanmoins un dernier coup d'oeil à une table où lui et d'autres serveurs et serveuses sont réunis tout en lançant quelques regards à leur table. Quelle erreur. Elle s'est faîte remarquée et maintenant la réputation de Vicky peut être en jeu. Elle se mordit la lèvre inférieure, espérant que sa très chère ne remarque rien.

Finalement, elle se lève lentement en prenant soin de s'excuser auprès d'elle, prétextant qu'elle s'en va aux toilettes. Oh Dieu – enfin, Dieu de la mort et autres shinigamis – elle utilise une excuse aussi lamentable pour s'absenter loin des yeux de sa petite Vicky. Elle aura du mal à se le pardonner. Très vite alors, mais sans qu'elle ne le remarque, Vladimirovna s'approche à petits pas de la troupe de serveur avant de tirer le concerné par sa cravate en l'emmenant en effet dans les toilettes. Elle compte y aller, mais pas pour la même raison... Dans cette pièce carrelée du sol au plafond par un blanc pure, elle force le jeune homme à se blottir contre deux murs avant de sortir d'un geste brusque un petit poignard qu'elle se garde de transformer en faux. Son visage horriblement crispé par la colère l'oblige à se presser dans sa tâche. Dans un cri mi-fort mi-contrôlé, elle s'écrie :

« Je ne te pardonnerais jamais... jamais de lui faire ces yeux doux ! »

Et à plusieurs reprises, ce sont des explosions de rouge qui émane du corps du pauvre serveur. Celui-ci s'effondre. Et même si la mort l'a déjà emporté, Vladimirovna ne peut toujours s'empêcher de le frapper à coup de poignard à multiples endroits.

« Je ne te le pardonnerais jamais... jamais... jamais... ! Jamais ! Jamais ! Jamais ! Jamais ! »

Ce mot qu'elle répète sans cesse fini par s'estomper lorsqu'il est vite remplacé par des halètements. Les yeux plissés sur le cadavre ainsi que sur l'angle des murs blancs souillés de rouge, un rictus malfaisant déforme ses traits. Elle se retient de justesse de rire comme à son habitude afin de ne pas être plus entendue. Elle l'a tué, mais il était bel et bien question de justice. C'est sa Vicky. À elle et à personne d'autre. Sa Vicky qui ne voudra jamais croire en son existence propre.

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La poupée de porcelaine, laissa sa nouvelle connaissance jouait avec une de ces mèches platines, peut-être cette dernière voulait parler d'un sujet sur ces mythes et légendes ? Du moins, la jeune noble attendit la réponse de la russe, cette dernière tenait sa tasse de thé dans sa main libre et dit ceci

Vraiment ? C'est bien dommage. Tu vas donc devoir parler de toi en premier.

Sa nouvelle amie, déposa furtivement un baiser sur la dite mèche, avant de la laisser retombait, déposant son menton sur ses mains jointes.

La jeune Lady, coupa soigneusement son coulant au chocolat, elle était réellement accro a tout ce qui était sucré et ça pourrait même causer sa perte, si Lugio Cavatayo lui envoyait une boite de chocolat empoisonnée, elle la mangerait sans se poser de question ! Heureusement il n'y a pas grand monde qui connait cette facette.

La distance entre leurs visages devint de plus en plus maigre, sa ne dérangeait guère la jeune noble qui restait souriant comme un ange, en dégustant ses précieuses pâtisseries.
Étrangement, un regard noir provenant des iris bleutés de Vladimorvna passa par-dessus l'épaule gauche de la jeune fille, il était tout simplement destiné au serveur le dénommé Fenrir.

Au bout de quelques instants, la demoiselle se leva et choisit l'habituel excuse ''De se rendre aux toilettes'' La jeune fille fit semblant d'y croire, même si au fond elle se demandait qu'elle était l'imbécile qui avait inventé une excuse aussi stupide...Franchement, par moment on se demande bien ce qu'on les humains à inventer ce genre de phrase...
Alors qu'elle dégustait son gâteau, la jolie fillette ne se doutait point de la scène qui se déroula dans le lieu auquel s'est rendue la jeune femme.

Un homme de 17 ans ou 16 ans à peine vint et s'adossa contre la table en bois d'acajou sur laquelle était attablée la jeune noble, avant d'alluma une cigarette il lui adressa un sourire.
_ Eh bien Marcangella ! Que fais-tu ici seule ?

La jeune fille le foudroya du regard, l''adolescent n'était autre que Billie Brazi son fidèle bras, droit. Elle pris une sorte de fine lame de sa poche et la lança sur la cigarette récemment allumée.

_ Combien de fois t'ai-je dit de ne jamais fumer a table ? Sur-ce as-tu ce que je t'ai demandé ?

_ Tu me prends pour un incapable ? La voilà répondit ce dernier énervé d'avoir perdu à ce jeu, en glissant un paquet sous la table.

_ Parfait ! Tu peux disposer rit-elle en essuyant distinctement sa bouche rosée.

Après que le jeune homme eut pris congé, l'aristocrate se leva et alla toquer à la double porte en bois blanc des toilettes destinées à la jante féminine. Ayant d'ailleurs entendue un bruit qu'elle ne pouvait ignorer... Une lame dans une chair humaine... Elle, le Phantom... avait assez fait ce geste pour savoir le distinguer.

_ Excusez-moi Vladimorvna ! Tout va bien ? J'ai entendu un bruit inquiétant.

Elle le demandait, car elle risque d'entrainer son amie dans une affaire assez envenimée et elle ne voulait pas voir des innocents mourir dans une guerre déclenchée par ce fou de Cavatayo !

Adossé contre la porte lisse et froide, elle attendit patiemment la réponse de la demoiselle.
Une question lui trottait dans l'esprit....Pourquoi avoir parlé de mythes ?