Kuroshitsuji - Black Butler RPG
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 Anjana Dipendu

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MessageSujet: Anjana Dipendu   Anjana Dipendu Icon_minitimeVen 16 Juil - 20:01

(Je n'ai pas suivis exactement le même modèle que la fiche, mais si cela pose problème je modifierais)

¤~Généralités~¤

Nom : Dipendu

Prénom : Anjana

Race : Humain

Age : 16 ans

Sexe : Féminin

Rang : Simple Civil

Rôle/Fonction: Bergère (Vaisya)

Nationalité : Indienne

Sexualité : Hétéro


¤~Descriptions du personnage~¤

Description physique :

Anjana est une belle jeune fille, grande, mince, souple et gracieuse. N'oublions pas ses origines de la caste Vaishya, qui, même si elle n'est pas la plus importante, n'est pas non plus la dernière. Elle a un visage lisse, de forme ovale au teint qui se veut de nature bronzée. Physiologiquement, Anjana a un visage neutre, ni vraiment souriante, ni vraiment triste, son visage ne prend des mimiques gaies, tristes, froides ou souriantes, seulement lorsque Anjana ressent une de ses émotions... mais s'il fallait vraiment détailler, le visage d'Anjana a souvent l'air légèrement triste quand elle ne ressend rien de particulier. Elle a de longs cheveux d'un noir de jais. Cacher par ses longues mèches noires, son front est assez court et ses yeux vifs arborent une belle couleur d'un vert turquoise. Son nez est petit et légèrement pointu, sa bouche est mince et petite, tandis que son menton est légèrement pointu.

Ses épaules sont légèrement étroites, précédent de longs bras minces, mais qui se veulent plein de force. Ses mains sont douces et fines, longtemps habituées à ne rien manipuler de plus qu'un bâton, les pis d'une vache. Elle a une poitrine ferme, légèrement petite. Sa taille est fine et ses hanches tout aussi étroites que les épaules, n'entachent en rien sa silhouette. Anjana a de longues jambes fermes et fines, après tout, Anjana passe le plus clair de son temps à marcher. Elle a une démarche incontestablement gracieuse, mais qui est devenue de plus en plus énergique avec le temps.

En petite manie désagréable, Anjana à la fâcheuse tendance à se mordiller les lèvres ou les doigts, quand elle est stressée. Sachant coudre, elle porte un sari rouge ou bleu.


Description psychologique :

Anjana est physiquement, une jeune femme plus ou moins rêveuse, calme et douce. Et vous ne vous y trompez pas en pensant cela. La jeune bergère qu’elle est, est effectivement d’une nature pacifiste mais aussi terriblement lunatique. D’un naturel assez méfiant, Anjana se réfugie beaucoup loin des autres… après tout une femme n’a pas à se plaindre de là d’où elle vient. La jeune femme apprécie la compagnie de la nature, préférant cent fois écouter l’eau d’un ruisseau et le chant des oiseaux que les rumeurs et les bruits de la ville. Anjana semble être assez timide dans certaines situations, en particulier lorsqu’elles impliquent ou « frôlent » le prince Soma. Malgré tout, Anjana est légèrement ambitieuse et a parfois du mal à faire ses choix. Elle aime rester discrète mais ce n’est pas chose aisée lorsqu’on est une étrangère. Disons qu’elle n’était pas vraiment faite pour être discrète. Elle a apprit à garder certaines émotions et sentiments à l’écart pour ne laisser paraître que ce qui lui semble utile à l’instant.

Lorsqu’elle rit, elle émet un rire des plus cristallins, justifiant sa voix de cristal assez petite. Anjana apprécie les ballades dans les jardins, elle adore feuilleter les livres même si elle ne sait pas lire, elle aime beaucoup les animaux ayant passé son enfance avec eux. Anjana est toujours avide de connaissance, elle adore sortir pour apprendre énormément de chose et en découvrir d’autres. Elle ne s’arrête jamais, elle a autant d’énergie qu’un enfant.Anjana s’ennuie facilement et rapidement, elle se lasse plus ou moins vite de certaines choses. Aussi, elle aime beaucoup taquiner les autres et semer le désordre sur son passage. Pas le désordre matériel, mais plutôt briser momentanément la monotonie d’un train de vie. Elle adore danser et n’hésite pas à s’adonner à quelques accrobaties, ne serait-ce que pour amuser les autres. Elle aimerait apprendre à lire.


¤~Histoire~¤

On dit que la famille Dipendu est maudite…

Anjana est née en Inde il y a de cela seize printemps. C’est une jeune fille née dans la caste des Vaisya, la troisième caste. Cette caste est celle des « agriculteurs » et des artisans, ceux qui occupent le commerce dit-on généralement. La famille Dipendu, vit énormément de ses terres et ses troupeaux, très jeune Anjana a été initiée à ces pratiques. Le travail de la terre étant pénible, elle se trouva bien vite plus douée pour s’occuper des vaches sacrées. Mais la vérité sur Anjana, c’est que son véritable prénom est « Asha », elle l’a abandonné pour son surnom en quittant l’Inde.

Les règles sont très complexe en Inde… aussi Anjana a très vite pu voir que la vie serait difficile. Comme dit précédemment, les Vaisyas sont généralement la classe du commerce. Et parmis leurs devoirs religieux il y a l’étude du Véda. Anjana aurait beaucoup aimé l’étudier, ne serait-ce qu’un peu… elle ne voulait pas être comme toutes ces filles qui obéissaient sagement… non elle ne voulait pas d’une vie comme ça. Un tabou monstre ? Non, mais Anjana refusait une vie dictée par les hommes et les règles ennuyeuses, la jeune fille est âgée de sept ans. L’étude du Véda étant interdite aux filles, elle l’écoutait intentionnellement quand il était enseigné à l’extérieur et essayait de le mémoriser.

¤¤¤¤

Quand elle ne s’occupe pas des vaches sacrées, Anjana préfère jouer dans les arbres et agir comme un petit garçon. Pour cela, elle s’éloigne très souvent de chez elle, car si ça s’apprenait sa famille serait couverte de honte sur des générations… déjà qu’elle était fille unique, les Dipendu en avaient assez souffert. Anjana s’en voulait à elle-même, c’était de sa faute si ses parents étaient si honteux ? Surtout sa pauvre mère…

Fort heureusement, Anjana jouait sur un site désertique, un ancien temple d’Hanuman où vivait des singes. Une colonie de macaques y a élu domicile depuis plusieurs années maintenant, là au moins Anjana ne risquait rien de la part des animaux. C’était tellement plus simple et puis elle savait bien que si elle disparaissait… personne ne s’en soucierait sauf sa mère. Ca ferait de la place et ça reviendrait moins cher, c’est tout. Le fait d’être aussi souvent avec les petits singes, fait que « Asha » donc fut surnommée « Anjana » qui est le nom de la mère d’Hanuman. En effet, la jeune fille est souvent couverte de ces animaux et n’hésite pas à jeter des pierres à ceux qui approchent. C’est ainsi qu’elle se fait appeler la plupart du temps.

Mais la rencontre la plus belle pour Anjana fut avec Moyo… A l’époque elle avait douze ans. Sans lui, Anjana ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui. Elle le chérissait autant que sa mère. Alors qu’Anjana était au temple d’Hanuman, allongée sur le sol pour faire la sieste, quelque chose vint lui chatouiller la tempe. Pensant à un des singes, elle ne réagit pas au début, mais le pression se faisant de plus en plus forte, elle ouvrit les yeux pour se retrouver nez à nez avec… un tigre du Bengal. D’abord surprise et intimidée, Anjana ne bougea pas, retenant son cri de surprise. Le tigre reniflait ses longs cheveux noirs, se demandant certainement ce que c’était. C’est la première fois qu’Anjana en voyait un de près et dans les parages… était-ce la faim qui l’avait amené jusqu’ici ? Quoi qu’il en soit, Anjana se risqua à lever doucement la main vers le félin, pour le caresser. Bien évidemment, il refusa de se laisser toucher et préféra fuir.

Quelques jours plus tard, elle le croisa à nouveau et de fil en aiguille, ils se lièrent d’amitié, Anjana l’avait surnommé « Moyo » qui signifiait « cœur » dans une autre langue. Si la sieste avec un animal de cette taille est confortable, les jeux avec un tigre sont assez délicats. Anjana ne refusait jamais de jouer avec Moyo, qui était encore jeune. Avec ça, elle développa une force impressionnante. Jouer avec un animal de cette envergure, lui avait donné des bras d’acier.

¤¤¤¤

« Asha ! Je t’ai laissé beaucoup trop de liberté ! A ton âge les filles sont déjà mariée depuis longtemps ! Je ne peux me permettre de garder la honte sur la famille encore longtemps ! Je suis déjà en train de négocier pour ton mariage. »

Le mariage… n’était-ce pas ça qui avait tué sa tante ? Car oui, il y a ce qu’on appelle « dowry death », des femmes tuées parce que leur dot est insuffisante pour un mariage. N’était-ce pas aussi ce qui avait rendu sa mère malheureuse ? N’était-ce pas ça… qui la rendrait prisonnière à tout jamais ? Et quand bien même son mari mourrait, elle devrait pratiquer le rite du Sati ? Non… elle ne voulait pas de ça. Elle murmura quelque chose d’incompréhensible… un mari, un homme qu’elle ne connaissait même pas et qui serait sûrement bien plus vieux qu’elle. Non, elle ne pourrait décemment pas le supporter.

« Je… je ne veux pas père. »

« Comment ça ? Tu oses me contredire ? Pour qui te prends-tu ?! »

« Je refuses que vous me mariez à un homme dont j’ignore tout ! Je ne veux pas vivre sous les ordres d’un homme qui ne fera que m’utiliser ! Je ne veux pas épouser quelqu’un qu’on m’aura choisit ! Je veux choisir moi-même ! »


Sa mère était surprise et son père au bord de la crise de nerfs. Elle osait contredire les traditions ? Sa fille, son unique fille qui faisait le malheur de la famille, refusait de lui obéir ? Si ça ne tenait qu’à lui, il n’aurait pas hésiter à la mettre à mort. Finalement, elle s’en sortit avec une belle gifle et un sermon.

« Tu feras ce que je te dirais de faire ! Tu devrais plutôt être heureuse de ne pas finir en offrande aux Dieux !! Remercies nous de t’avoir laisser la vie sauve ! »

Son père marquait un point, ils auraient très bien pu la tuer à la naissance… mais peu importe, justement parce qu’elle avait réussit à survivre à ça, sa vie n’en était que plus précieuse et elle devait la vivre pleinement. Elle avait quatorze ans, presque quinze, quand le pire arriva…

¤¤¤¤

Anjana détestait les anglais, plus encore ceux présent en Inde. Ils étaient si prétentieux, si étranges, hautains et superficiels… Ils exploitaient sa terre natale pour un bénéfice dont elle ignorait la signification. Plusieurs fois elle avait préféré se cacher, plutôt que de parler à un anglais. Mais la pire des choses que les anglais pouvaient faire… c’était chasser.

Elle savait que ces étrangers étaient amateurs de beau trophée de chasse. Et le plus beau des trophées en Inde ce n’était pas… le tigre ? Anjana avait quatorze ans , ce jour là, une chasse avait lieue en forêt. Elle avait abandonnée son devoir et tout le reste pour sauver Moyo. Elle préférait être frappée par son père, abandonnée, déchue, reniée, ignorée, plutôt que de voir Moyo mort.

Au final, elle retrouva Moyo, celui-ci était dans les ruines d’un couloir a fixer cet homme, pointant un fusil sur lui. Anjana n’en croyait pas ses yeux, elle se précipita sur le chasseur, pour faire dévier la trajectoire de la balle. Celle-ci ricocha sur un mur et s’incrusta dans une colonne. Le bruit fit fuir le tigre et Anjana utilisait tout ce qu’elle pouvait, ses dents, ses ongles, sa voix, ses coudes, ses poings, tout pour blesser le chasseur. Voyant sa proie fuir, le chasseur pesta contre la jeune fille :

« Tu vas me lâcher, sale petite sauvageonne !? »

Il donna un coup de crosse au visage d’Anjana, qui relâcha bien malgré elle cet homme. Sonnée l’espace d’un instant, elle essayait de reprendre ses esprits le plus vite possible. Une masse orangée vint s’abattre à côté d’elle, dans un rugissement sourd. Elle sursauta en laissant un cri de surprise lui échapper, c’était Moyo qui venait de se jeter sur le chasseur. Celui-ci était plaqué sur le ventre à gémir. Anjana s’empara du fusil et s’enfuit dans la jungle, ce minable anglais ne pourrait rien face à Moyo, sans arme. Mais s’était sans compter, que ces anglais étaient plein de vices… c’est à l’arme blanche qu’il prit la vie du si bel animal. En entendant ce gémissement de douleur, Anjana fit volte face, ses yeux reflétant une panique immense. Elle retourna sur ses pas, pour trouver Moyo couché sur le côté. La jeune Vaisya en laissa tomber le fusil et se jeta sur le corps du félin.

« Moyo !!! »

Elle ne pouvait y croire, elle versait des larmes de crocodile sur la magnifique robe flamboyante du tigre… L’anglais derrière elle, réajustait ses vêtements et sa coiffure, récupérant son fusil.

« Eh bien… cette chasse aura été un vrai plaisir, ça m’a donné du fil à retordre, mais quel trophée. Il fera une magnifique peau dans mon salon, mes invités seront émerveillés de voir ton précieux ami sur le mur ou le sol de ma demeure. »

Anjana cessait de pleurer, haletant bruyamment au bord de la folie. Elle posa délicatement ses doigts sur le manche de l’arme et les resserra dessus. Elle se mordit la lèvre et en entendant les murmures obscènes de cet aristocrate… elle poussa un grognement bestial et retira le couteau pour trancher la gorge de l’anglais. Est-ce qu’Anjana comptait réellement le tuer ? Pas sûr, elle aurait voulut le faire reculer, mais elle ne regretterait pas son geste. Là, Moyo bougea lentement, gémissant doucement. Anjana eu un peu d’espoir, le tigre se releva et se retira dans la jungle, suivit de la Vaisya. Il voulait mourir quelque part… et Anjana l’aiderait à aller jusque là-bas.

Elle restera des jours près de la dépouille du tigre, éloignant les charognards. Comme seul souvenir, Anjana prit des poils de sa somptueuse robe de feu et les mit dans un tout petit sachet brun, qu’elle porte constamment sur elle, contre son cœur. Sans Moyo elle n’aurait jamais connu une certaine joie de vivre… sans lui elle n’aurait pû connaître le repos, elle n’aurait jamais pris de recul sur cette vie et elle espérait sincèrement qu’il ne lui en voulait pas, d’avoir été humaine… et que comme elle, il ne l’oublie pas.

¤¤¤¤

Plus rien ne la retenait ici… elle voulait partir, mais où ? Pour faire quoi ? Elle ne savait que danser et s’occuper des vaches… Alors qu’elle emmenait de l’eau sur sa tête, elle entendit une conversation pour le moins inquiétante :

« Vous savez ce qu’on raconte ? Un homme anglais a été sauvagement attaqué par une furie dans la forêt, une vraie sauvage ! Elle aurait tenté de lui trancher la gorge et si un villageois n’était pas arrivé à temps, après avoir entendu des cris effrayants, l’anglais serait mort. »

« C’est vrai, j’ai moi aussi entendu ces cris effrayants il y a des lunes. J’ai pensé à un animal qui se faisait dévorer… mais s’il y a quelqu’un d’aussi monstrueux dans la forêt, il faut à tout prix qu’on évite d’y aller. »

« Ou alors on la traque… peut-être que si on offre une récompense pour elle, quelqu’un nous l’amènera ? »


Cet anglais était encore vivant ? Après avoir eu la gorge tranchée ? Quel idiot le paysan qui l’avait aidé ! Si on apprenait que c’était elle, cette furie de la forêt… qu’est-ce que ça serait pour les Dipendu ? Anjana le découvrit bien vite. L’appât du gain était incroyablement fort et elle avait très vite été vendue par ceux qui connaissaient son passe-temps. C’est une nuit, au temple d’Hanuman qu’on l’attrapa. De cette petite foule de traître, sortis un homme. Anjana afficha un air surpris, redoublant de rage. Cet anglais… ce maudit anglais avec un bandage au cou… était toujours en Inde ? Les bras croisés, affichant un air plus que satisfait :

« Comme on se retrouve, petite sauvageonne… »

« Vous… Je vous croyais entouré de charognards ! »

« J’ai bien cru que la mort venait me chercher, moi aussi… mais fort heureusement on m’a soigné à temps. »

« Les vautours n’auraient même pas voulut de votre carcasse ! »


Il se pencha sur elle, se saisissant de son menton sans aucune douceur, pour éclairer son visage avec les torches :

« Hum… je n’avais pas vu un si joli visage ce jour-là. Acceptes de t’assagir et de venir avec moi. Je dois rentrer au pays pour quelques petites choses à régler, là-bas au moins on t’apprendra les bonnes manières.»

L’indienne lui cracha au visage. Par la suite, Anjana fut condamnée à trente coups de fouet. La morsure du fouet était insoutenable, mais elle ne pleurerait pas devant eux. Les coups semblaient redoublés à chaque fois, ils semblaient être interminables et Anjana se demandait s’il y aurait une fin à ce supplice. Quand finalement les coups cessèrent, elle fut jetée dans une prison sans fenêtre, humide et lugubre dans laquelle elle restera un an et demi. Anjana voulait ardemment se venger de ce chasseur, elle voulait finir ce qu’elle avait commencé.

Est-ce qu’un jour cette porte s’ouvrirait ? Est-ce qu’un jour quelqu’un la sortirait de cette prison froide ? Ou si elle devait tenter le destin et s’enfuir. Mais comment sortir d’un endroit pareil ? Anjana espérait de moins en moins, maudissant tout le monde, elle en allait même jusqu’à vouloir vendre son âme pour sortir d’ici et se venger de ceux qui l’ont vendue, de cet anglais méprisable. Finalement, la porte s’ouvrit, la lumière l’aveugla, elle était enfin libre. Mais pour quelle raison ? Qui en avait décidé ainsi ? Ou peut-être avait-on besoin de la place ? En tout cas, Anjana ne demanda pas son reste, elle quitta l’Inde pour l’Angleterre. Elle s’était renseignée sur ce chasseur, discrètement bien sûre, il était la-bas actuellement.

Elle le trouverait et finirait ce qu’elle avait commencé… quitte à vendre son âme pour ça. D’ailleurs peut-être que c’est ce qu’elle cherchait à faire ? Après… qui sait ce que l’avenir lui réservera.

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