Neil Anderson.

¤~Généralités~¤

Nom : Anderson.

Prénom : Neil.

Race : Humain.

Age : 19 ans, presque 20.

Sexe : Masculin.

Rang : Civil, enfant bâtard du comte Stormheart.

Rôle/Fonction: Il est entre l’homme de main et le majordome.

Nationalité :Anglaise.

Sexualité : Homosexuel.

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¤~Descriptions du personnage~¤

Description physique :

Apparence physique: Neil possède les même yeux vert et perçant que son père. Il a un visage fin sans pour autant être efféminé. Ses cheveux sont entre le noir et le châtain, très raide et doux. C’est un garçon qui a une peau pâle et fragile, aussi évite-t-il de sortir quand il y a beaucoup de soleil. Il est plutôt petit pour un garçon ne mesurant qu’un mètre soixante-dix pour cinquante-sept kilo, il a donc une apparence assez fragile.

Allure et goût vestimentaire : Le noir c’est bien, le noir c’est discret… et ça va bien avec le blanc. Bref, vous l’aurez comprit Neil s’habille principalement avec des chemise blanche et des veste noire. Queue de pie, cravate ou jabot… La plupart de ces vêtements lui viennent de son ancienne vie auprès de la famille Stormheart.

Particularités : Le jeune homme a une oreille percée où il porte une boucle d’oreille composé d’un simple saphir. Elle appartenait à sa défunte maîtresse Elizabeth, la petite comtesse Stormheart, a son poignet gauche est continuellement noué un ruban de satin blanc qui appartenait aussi à Elizabeth.


Description psychologique :

Qualités : Neil est une personne dévouée et honnête. Il déteste le mensonge aussi s’ emploi-t-il à être le plus honnête possible. C’est un garçon agile, rapide aussi bien de son corps qu’en matière de pensée. En effet le comte ne la certes jamais reconnue comme son fils il n’empêche qu’il lui a quand même dispensée une éducation assez complète, l’ayant eu à ses côté depuis l’âge de ses un an. Ainsi Neil est habitué à manier l’épée, sait cuisiner, coudre, lire, écrire, jouer du piano et des échecs. C’est une personne curieuse qui ne perdra jamais une occasion de s’instruire. C’est quelqu'un de gentil et compréhensif qui est plutôt doué avec les enfants, en raison de sa patience. Il aime s’occuper d’eux, leur raconter des histoires ou inventer des jeux.

Défauts :Le dévouement de Neil peut être considérer comme un défaut, il refuse de trahir son maître même si ce dernier l’entraine dans de sombres complots, comme c’est souvent arrivé avec le comte. C’est également une personne qui peut être prompte à s’énerver lorsque l’honneur de son maître est en jeux. Il n’est pas très diplomate, et peut parfois se montrer assez autoritaire… surtout avec les domestiques sous ses ordres. Il aime l’ordre et la propreté, ce n’est pas un défaut en soit… Le problème c’est son côté maniaque.

Ce qu’il/elle aime : L’ordre, la propreté, les contes, la simplicité et les chats.

Ce qu’il/elle n’aime pas : Les gens sale et bruyant, les chiens (il y est allergique.), le thé trop infusé, les gâteau trop sucré, les plat trop salé.

Autres choses à signaler : Nop.


¤~Histoire~¤

« - Cela fait un an que j’attend une reconnaissance ! »
La femme tenait dans ses bras un petit garçon au regard aussi vert et pénétrant que le baron.
« - Et je ne vois pas pourquoi je devrais reconnaître ce bâtard, vous semblez oublier votre place ici, Mary !»
Il écrasa son poing sur la table. Si encore cet enfant ne lui ressemblait pas autant il l’aurait prit à son service, mais là c’était impossible…
« - Si vous refusez de reconnaître cet enfant je me chargerais de tout raconter à madame ! Je suis que vous n’aimeriez pas que votre récent mariage soit contrarié par vos batifolages passés ! »
Cette fois si le baron pâli légèrement. Il avait réussit à épouser une jeune comtesse et espérait ainsi pouvoir gagner un nouveau titre de noblesse. Il fallait réussir à contenter la servante mais également à l’éloigner de sa maison.
« - Bien… Je le prend à mon service, il sera élevé et nourrit… mais ne vous attendez pas à ce que je lui donne un titre ou quoi que ce soit. Quant à vous je ne veux plus jamais vous voir ici ! Vous le regretteriez ! »
La femme de chambre tenait son fils… c’était la seule chance qu’elle avait de lui offrir une vie décente… Elle finit par poser l’enfant sur le bureau.
« - Il s’appelle… »
« - Aucune importance… Ici il sera Neil, on lui trouvera un nom de famille plus tard. »

Cinq ans plus tard.
« - Neil ! Ton épée, tiens la mieux ! »
Le garçon modifia sa position. Le comte était très stricte sur l’éducation du garçon. Cela faisait jaser un peu les autres domestiques. Surtout que la seule justification apportée par le seigneur était « Ce garçon sera au service du futur comte ou de la future comtesse ! ». En effet en cinq ans le seigneur était passé de baron à comte, quelques rumeurs voulaient qu’il soit bientôt nommé duc.
« - Mylord, peut-être devrions-nous nous arrêtez maintenant ? Vos amis devraient bientôt arrivé. »
Le seigneur acquiesça et bientôt la salle d’escrime fut vidée.

Quatre ans ont passés.
« - Neil ! Lèves toi ! La comtesse va accoucher sous peu ! »
Le garçon de dix ans s’était vite préparé avant de rejoindre son maître dans le salon vert avec un plateau d’argent sur lequel était posé du thé, une assiette de biscuit au gingembre et du tabac.
« - Assis-toi mon garçon… J’ai à te parler. »
Neil s’était assis sur une chaise, en silence.
« - Comme tu le sais après la naissance de cet enfant ta vie ici va changer. Tu ne serais plus à mon service mais au sien. Tu devras le servir, le protéger… Tu sera son majordome. Je veux tu l’aime comme un frère, mais que tu lui voue le respect et la fidélité que tout bon serviteur doit à son maître. »
L’enfant avait acquiescé. Il avait été élevé ici depuis qu’on l’avait abandonné. Le comte et sa femme était comme des parents pour lui.
« - Je serais à la hauteur, Mylord, avec moi votre enfant ne risquera rien. »

Six ans plus tard.
Neil a maintenant seize ans, c’est un beau jeune homme fidèle à sa petite maîtresse, Elizabeth. Aujourd’hui il marche dans le jardin, il se glisse derrière une serre. Un petit sourire se dessine sur ses lèvres quand il voit une petite fille recroquevillée sur elle-même.
« - Vous voilas, Mademoiselle Elizabeth, et bien ? Qu’est ce qui vous cause autant de chagrin ? »
La petite fille renifla et essuya ses larmes.
« - Je… ma robe… elle est tachée. »
« - Et c’est pour ça que vous pleurez ? Allons, milady, il n’y a rien que je ne puisse nettoyer. »
Il attrapa la jeune fille dans ses bras et l’emmena vers la maison.

2 ans ce sont de nouveau écoulé.
« - Père !!! Je veux que Neil vienne ! S’il vous plait ! »
« - Ne discutes pas Elizabeth, Neil nous rejoindra le mois prochain. Tu peux bien te passer de ton majordome un mois ! »
Le jeune homme s’était agenouillé.
« - Allons, Miss, ne soyez pas triste ! Nous nous reverrons bientôt, et vous aurez plein de chose à me raconter. J’ai hâte de voire l’Inde avec vous ! »
La petite fille monta dans le bateau, triste. Trois semaines plus tard les domestiques apprirent le triple meurtre du comte, sa femme et leur fille en Inde…

Un nouveau départ,
Neil resta un long moment silencieux face aux huissiers. Il monta à l’étage rassembler ses affaires, avant de partir il se glissa dans la chambre de sa petite maitresse, dans la boite à bijoux de cette dernière il déroba un ruban de satin blanc et une boucle d’oreille de saphir. Il ferma les yeux et perça son oreille. La douleur fut brève, et c’était peu payer pour un souvenir de la petite fille. Puis il parti à la recherche d’un nouveau travail, d'une nouvelle maison et de nouveau maître.