Kuroshitsuji - Black Butler RPG
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 Les pieds dans l'eau PV Nelh

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MessageSujet: Les pieds dans l'eau PV Nelh   Les pieds dans l'eau PV Nelh Icon_minitimeLun 9 Mai - 14:50

Un rayon de soleil cognant droit sur mon volet délabré me tape directement à l’œil et me tire de mon sommeil, il faudrait vraiment que je songe à le réparer. Je suis au bout du rouleau, entre me coucher le soir a pas d’heure et le matin réveil à l’aube, il arrive à un moment ou n’importe qui craquerait. Un excès de courage pour me redresser, mais la encore mes fesses on du mal a se lever du matelas même s’il est des plus inconfortable, il y a des jours avec et des jours sans. Aujourd’hui cela serait un jour sans… Je pose mes mains sur mes bras, yeux fermer lèvres pincées et comme chaque matin je me mets a pleurer, honte de qui je suis, ce que je suis et surtout ce que je fais. Mes pauvres parents se retourneraient dans leur tombe s’ils apprenaient ce que je fais pour survivre et après ce petit moment d’émotion il enfila son manteau les yeux rouge et gonflés puis sortit.

Direction le puit le plus proche pour puiser son eau pour la journée, décidément aujourd’hui j’ai vraiment pas les yeux en fasse des trous. Il a fallut m’y reprendre a 2 fois avant d’attraper la manivelle et je n’explique même pas le temps qu’il ma fallut pour remplir mon bidon. Quoi qu’il en soit, j’arrive tant bien que mal à revenir chez moi, m’épongeant le front avec le revers de ma manche. Je fais chauffer un peu d’eau dans une casserole pour me laver, même si je dois allé a la rivière aujourd’hui, je dois me purifier et enlever de mon corps se mal crasseux qui m’à souiller. Je vais à la salle de bain et me déshabille, regardant tristement dans le miroir les micros suçon que j’ai dans le cou et tout le long de mon torse, premier soupire… L’éponge est imbibée d’eau et je l’induis de savon avant de l’appliquer sur mon corps et frotter aussi fort que je peux jusqu’à ce que ma peau soit rougie.

C’est tout un truc pour me sentir enfin propre, j’enfile une longue chemise blanche et un bermuda noir et je suis paré pour aller travailler. Avant de sortir je prends un sac et je mets mon bob puis direction la rivière pour rechercher des métaux et les revendre. Je regarde l’heure sur big ben il n’est que 7h, l’eau va être gelé encore, heureusement que l’on dit que cela raffermit et préserve la jeunesse. Une main se glisse dans ma poche faisant raisonné le si peu de pièces de monnaie que j’avais et bizarrement je passe justement devant une boulangerie. Mon ventre cria famine et fit un bruit des plus horrible me faisant rappeler que je n’avais rien mangé depuis 2 jours. Pas le temps, ni forcement les moyens, mais aujourd’hui si je ne mange pas je ne serais pas en forme pour ce soir et je risque fort de tombé voir de perdre connaissance. La porte de la boulangerie s’ouvre pour laisser sortir 2 clients, j’en profite pour me glisser dans l’entrebâillement en enlevant mon chapeau tout en m’avançant vers le comptoir
.

- Tien donc Joshua ça fait longtemps qu’on ne t’a pas vu.
J’acquiesce de la tête en souriant faiblement.
Bonjour, oui veuillez m’en excuser d’ailleurs, j’ai peu de temps, mais aujourd’hui je suis la. Je m’incline poliment. Et je viens vous acheter 2 pains aux raisins.
- Un jour tu vas te tuer au travaille… Elle me prépara les 2 pains qu’elle me mit dans un petit sachet. Toujours par paire a ce que je vois, j’espère que ce n’est pas la ton seul repas.
Je secoue la tête en souriant, elle a toujours été comme une maman pour moi, toujours très gentille, même quand tous m’on tourné le dos. Non ne vous inquiétez pas, il ne s’agit la que de mon petit déjeuner. JE lui donne 40centimes en lui souhaitant une bonne journée et quand je sors de la bâtisse avec encore une envie de pleurer. Je n’aime pas mentir et encore moins à elle, donc on verra si je trouve suffisamment de truc intéressant pour aujourd’hui.

Il y a déjà 2 jeunes à la rivière, je les salue de la main avant d’enlever mon bermuda et d’aller moi aussi dans l’eau en grimaçant tellement qu’elle est froide. Qu’est ce qu’il ne faut pas faire quand on fait partit des bassesses de la société, au bout de quelques minutes je suis complètement frigorifié alors que mon front lui est bouillant. Je me redresse ayant mal au dos a force d’être penché vers l’avant, j’essuie mon front le souffle haletant et je reçois une rasade d’eau sur moi. Je lève la tête et je vois les 2 autres s’amuser a s’arroser, je ne peux m’empêcher de rire tout en me joignant a eux. On a bien le droit de s’octroyer une pose et bouger nous fera le plus grand bien, on se cours tous après en s’arrosant et rigolant comme des enfants. Mouiller ma chemise blanche en devient quasiment transparente et l’épaule me tombe sur le bras dévoilant une partie de mon torse. Je demande un stand by, vu qu’il faut qu’on se remette au travail, retournant près de mon coin, je garde un sourire fiché sur mes lèvres, content. Cela a réussi a me remonter le morale et me faire tenir jusqu'à la fin de journée, plusieurs heures passèrent et mon sac peu a peu se remplissait. J’ai trouvé des bagues, quelques pièces de monnaies que je garde pour moi, des canettes et même des outilles, vis, boulons pour les travailleurs sur les chantiers.

Je me décide enfin à sortir de l’eau rougis les mains, jambes, pieds, rougis par le froid, fripés par l’eau et mutilés par les débris et je m’assois sur le rebord. Je frictionne mes mollets et mes pieds pour aider a la circulation sanguine en me mordant la lèvre inférieur, il y a trop de monde qui commence a arpenter la rue il est temps pour moi de me retirer et faire autre chose. Le soleil commence a tapé de plus en plus fort, j’attends que mes jambes soient sèches avant de remettre mon bermuda et seulement après j’enlève ma chemise pour la faire sécher au soleil pendant que je me régale de mes 2 pains aux raisins. Avant qu’ils ne partent j’en donne 1 aux 2 enfants qui étaient avec moi pour qu’il se le partagent en 2 après tout nous sommes dans la même galère un peu de bien dans se monde de brut est plus que recommandable. Je m’allonge sur le sol main derrière la tête et yeux fermés pour me reposé un peu avant d’essayé d’allé au marché et trouver quelque chose a faire.

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Nel - Azraël
Mad • Angel of Death
Nel - Azraël


Date d'inscription : 16/08/2010
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Feuille de personnage
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Fonction/Rôle: Diseur de bonne aventure, ange de la mort. (Shinigami)

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MessageSujet: Re: Les pieds dans l'eau PV Nelh   Les pieds dans l'eau PV Nelh Icon_minitimeMar 10 Mai - 20:20

    « Père… »

Un échos, une voix grave et pourtant si légère s’élevant doucement au dessus de lui, l’étrange. Une tonalité presque mystique pour une présence tout aussi mystérieuse au milieu de cette pieuse église du centre de Londres. Déserté, l’endroit avait quelques airs assez glauques, il faut bien l’avouer… Et pourtant, à cause des maux qui frappaient actuellement la capitale, certainement que les prières adressées au Tout-puissant avaient redoublé, peut-être même triplé. Alors pourquoi, sur ses bancs en bois, aucune âmes humaines suppliaient le créateur du regard ? Étaient-ils déjà tous résignés ? Nan… Certainement avaient-ils fuit à l’instant même ou cette diabolique silhouette avait pénétré dans l’endroit, défiant les bonnes mœurs de son accoutrement plus qu’excentrique. Et pourtant, on laissait les gitans prier leur Maria, mais celui-ci n’avait définitivement pas des airs de simples tziganes. Plus enfant de Satan que celui du vent, il inquiétait, effrayait même. Lui, l’homme au pied en sang pour une raison inconnue, lui qui fixait le Christ depuis plus d’une heure maintenant. De sa fier stature, il semblait le défier en silence. Ses cheveux noirs encadrant très grossièrement son visage à la peau décidemment trop pâle pour un être qui se disait fabuleusement vivant. Ses lèvres, teintées d’un grossier rouge à lèvres couleur sang rendait le personnage encore plus étrange. Quant à sa tenue… Elle était des plus invraisemblables pour l’époque, même en le savant extravagant gitan et rocambolesque victorien. Une chemise blanche aux larges manches, aussi bouffantes qu’imposantes, dont les extrémités recouvraient entièrement ses mains de dentelles et volants. Des poignés et des doigts couverts outrageusement de babioles, bijoux et rocailles en tous genres ; Bois sculptés, perles nacrés, pierres précieuses, argents et ors, anneaux de cuirs ou vulgaires breloques de tocs. Pour finir par des ongles vernis d’une couleur rubis. Sur cette large chemisier, un veston brodé de fils d’or, rappelant la délicatesse des motifs baroques, entre élégantes courbes et vagues ornements floraux. Celui-ci, moulant, dessinait parfaitement les formes du curieux individu, allongeant son dos, taillant parfaitement sa taille pour le rendre plus imposant encore. Ses épaules d’hommes, quoique peu larges, lui donnait un côté noble et élégant, et l’assurance, l’élégance voir l’arrogance d’un gentleman de la haute aristocratique. Peut-être que cette impression était d’ailleurs renforcé par le jabot qu’il portait au colle, un jabot de dentelles coupé par un médaillon en camée. Mais bien qu’il semblait avoir tout du parfait noble anglais, le nombre impressionnants de foulards aux teintes criardes, à piécettes, qui retombaient grossièrement sur ses hanches amenaient les voyeurs à douter de ses seigneuriales origines. Et quand finalement, on s’attardait à ce sexy et fantaisiste pantalon ébène qui se finissait à ses genoux en de nombreux volants de tulles blanches, ou quelques broderies de fleurs rouges y avaient été cousues, on concluait un peu inquiet que le personnage en question ne suivait aucun courant connut du monde humain. Si à cela on ajoutait les plaies ouvertes de ses pieds et le glacial regard adressé au Divin, on avait vite fait de prendre ses jambes à son cou. Cependant, le silence de mort, si je puis-dire, sembla alerter le véritable maître des lieux : Le prêtre qui en plus de l’habit caractéristique de sa profession, portait attaché à sa taille une croix d’or, sertis de joyaux, un peu trop précieuse pour sa pieuse fonction.
    « Monsieur ? Que faites-vous ici ?… Qu’est-il arrivé à vos jambes ?… » Nelh glissa son regard sur lui avant de se jeter littéralement aux pieds de l’homme de religion, encerclant sa taille de ses bras en semblant le supplier.
    « Samaël a essayé de manger mes pieds !!! Je crois que j’ai été un méchant garçon, c’est pour cela !! » Surprit, l’homme tenta de se libérer, visiblement angoissé part des déclarations du médium.
    « Allons !! Je ! Vous !! Il vous suffit de vous repentir et Dieu saura vous accordez le pardon ! Et peut-être qu’en accomplissant une ou deux bonnes actions votre conscience… Attendez !! »

Nelh venait soudainement d’attraper entre ses dents la croix d’ors et avant que le vieil homme ne puisse réagir, il tira violemment dessus pour le détacher de sa ceinture. Aussitôt, il recula en tournoyant, dansant presque, le bijou volée toujours en bouche. Il se retourna alors, souriant de plus belle ;
    « Je préfère rester un mauvais garçon ! héhé ♥ »

Et il partit en courant, laissant le prêtre bouche bé. Lui courir après ? C’est vrai qu’il aurait pu, mais l’aura que dégageait d’Azraël, son accoutrement, son comportement… Toutes ces choses avaient figées d’effrois l’homme qui, de toute façon, culpabilisait de sa trop grande avidité. Peut-être que son père céleste le punissait ? Qui sait. De son côté, l’étrange déambulait à présent dans les rues de Londres sans savoir réellement où il désirait aller. Joueur, il avait accroché la précieuse croix à l’un de ses nombreux colliers, qui s’échappaient parfois du dessous de son jabot. Les pieds sales et souffrants, il se décida pour une des rivières de la capitale ou sans se préoccupé d’une présence, il y entra lentement. L’eau ayant vite fait de nettoyer les plais, il releva les yeux et glissa le regard sur les alentours, découvrant seulement la silhouette d’un inconnu qui s‘était allongé un peu plus loin. A première vue, se n’était qu’une gamine, une petite tête blonde de frêles statures. Et à voir ses vêtements très pauvres, elle ne faisait pas partie de la haute noblesse du pays, au contraire… Une gueuse ? Certainement. Curieux, il sortit de l’eau s’en rapprocha d’un pas inaudible, allant s’accroupir à côté de la personne qui dissimulait ses yeux sous le dos d’une de ses mains. Il se manifesta alors d’une façon assez louche, comme il le faisait souvent ;

    «  Croac’, j’suis un vilain crapaud. ~ Mais si une jolie princesse m’accorde un tendre baisé, je redeviendrais un beau prince charmant. ♫ »

Qu’est-ce qu’il racontait ? Hum. Très bonne question. Puisque de toute évidence, il n’était pas un crapaud et celui qu’il prenait pour une fille, n’était pas une princesse. Peut-être s’amusait-il de l’aspect très enfant de son vis-à-vis en lui rappelant un conte que tous connaissaient ? Une de ses histoires farfelus qui finissaient toujours par un « Ils vécurent heureux et eurent beaucoup d'enfants » et qui faisaient croire aux plus naïfs qu’ils seront forcement heureux un jour ou l’autre. Un cruel message d’espoir pour certains, une vulgaire farce pour d’autres.
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MessageSujet: Re: Les pieds dans l'eau PV Nelh   Les pieds dans l'eau PV Nelh Icon_minitimeLun 16 Mai - 22:13

Je sens un petit vent se lever et glissé sur ma peau nu préalablement séché par les rayons du soleil, cependant cela ne m’empêche pas d’avoir froid et le frisson qui s’épris de moi me donna une énorme chaire de poule sur tout le corps. Un nouveau soupire ce fit entendre de ma bouche, parfois il m’arrive de regretter d’être encore vivant, pourquoi ne serais se pas moi que la maladie atteindrait et terrasserait ? Non il n’attaque pas les gens pauvres et seul, cette maladie ne s’en prend qu’aux personnes d’une grande et belle famille, ne touchant que certains membres afin que les autre puisse souffrir et pleurer la mort d’un être chers. J’ouvre les yeux regardant bien tristement le ciel les nuages prenant maintes aspects bizarroïde quoi qu’on pourrait créer une petite histoire fort sympathique pour les petits. Un sourire se dessina sur mes lèvres, c’est le passe temps que ma mère avait quand j’étais petit, on s’allongeait dans le jardin et elle me comptait une histoire avec les formes qu’elle voyait dans ce bel étendu bleu.
mini flashback:
La dernière en date fut l’histoire d’un petit garçon qui voulait offrir un beau cadeau pour l’anniversaire de sa maman, il voulait lui offrir des chocolats, mais l’odeur délicieuse de ces petits mets avait attirés des oiseaux redoutables qui avaient tout picorés. Triste le petit héros s’était réfugié à la rivière ou je suis actuellement et il regardait les poissons sautés, jusqu’à ce que son petit corps tombe de fatigue. Il avait été réveillé par la caresse des ailes d’un papillon qu’il voulu attrapé et donc il le suivi jusqu’à la foret ou un bruit attira son attention. Quelqu’un chantait, le petit garçon chercha partout jusqu’à tomber sur une rose magique, dans son habitat naturelle elle pouvait chanter, mais qu’une fois cueillit elle ne chantera plus et demeurera éternelle. L’enfant s’était donc empressé de cueillir cette rose pour l’offrir à sa maman et en même temps qu’elle racontait, ma mère faisait du pliage et m’offrit une rose en papier et elle clos l’histoire en me disant que comme son amour sera éternel la plante elle ne fanera jamais. Elle avait raison… J’ai gardé sa rose et jamais elle n’avait fanée.
Fin

Instant d’émotion qui me donne un gros coup de nostalgie et une grosse envie de pleurer, mes parents me manquaient enfin surtout ma mère. JE me redresse avant de me lever doucement pour ne pas avoir la tête qui tourne et je vais tâter ma chemise qui est encore un peu humide. Dans une zone d’ombre je la déplace ou chauffe encore les résistant rayons du soleil qui ne veulent disparaître derrière un gros nuage et je vais a nouveau a la rivière pour me rafraîchir le visage et me faire passer cette envie de pleurer. Mon reflet fait peine a voir, j’arrive a me faire moi-même mal au cœur, encore une chance que j’ai un physique et que je peux m’en servir, sinon je me demande ce que je pourrais bien faire. Un coup de poing dans l’eau est donné, les remous déforment mon visage et je me relève pour ne plus avoir à me voir. Je vais voir encore mon butin au cas ou des objets seraient apparu comme par miracle dans ma sacoche, l’espoir fait vivre, mais j’aimerais bien que des jambes leurs poussent et qu’ils viennent à moi sans que j’ai à me mouiller ou même tomber malade pour récolter 5 misérable £ et un autre soupire franchit mes lèvres. Je m’allonge a nouveau en mettant mes mains sur mes yeux, sentant mon cœur me battre aux tempes et soudainement le vide autour de moi. Il m’arrive de temps en temps de me déconnecter d’un coup d’une seul et de partir loin loin dans ma rêvasse dans un monde meilleur, dans ce monde que j’invente ou c’est moi le roi et ou plein de gens me respect et travail pour moi.

Un sourire crétin apparaît sur mes lèvres, que ferions nous sans les rêves ? Mais je reste lucide que vivre dans le rêve n’est pas ce qu’il y a de mieux pour un être humain. J’ai du mal parfois, mais j’essaye de faire clairement la différence entre rêve et réalité, quand j’ai la chance qu’il m’arrive quelque chose, c’est tellement rare que j’ai l’impression que c’est un rêve, le lendemain il se passe toujours quelque chose de néfaste qui me fait très vite retomber sur la terre ferme. Des déceptions j’en aurais toujours donc autant s’habituer a ne rien avoir, bien que quand je vois ses bourgeois, noble ou aristo richement habillé et assouvissant le moindre de le caprice je les envie. Marre de me serrer la ceinture à compter mon argent, à manger que quand j’ai le droit vu la taxe que l’on me prend pour habiter chez moi, tout le monde est loin d’être heureux. Un bruissement dans l’eau, la curiosité m’obligerais a ouvrir les yeux, mais mes paupières sont si lourdes, je suis si fatigué qu’en faite je n’en fit rien et sans même ouvrir les yeux je laisse le temps s’écouler sans doute les enfants de l’après midi qui cherchent de nouveaux trésors. Cependant les bruit dans l’eau se rapproche de mon coté, m’obligeant a me mordre la lèvre inférieur, puis plus rien, silence total et entendre le son d’une voix que je connaissais pas me fit sursauter. Non je ne m’attendais vraiment pas a ce que quelqu’un vienne me déranger et sur ment pas d’une manière aussi peu commune c’est le cas de le dire.

J’ignore si je dois en rire ou en être offusqué il pense que je suis une fille, je me jette un furtif coup d’œil, soit il le fait exprès, soit il est aveugle, je suis quand même torse nu. LA pauvre fille qui aurait mon torse comme poitrine ne serait pas gâté par la nature, alors je me contente de me redresser en écarquillant les yeux étonnés qu’une personne s’annonce ainsi et surtout qu’il prenne place auprès de moi aussi près ? N’a-t-il donc aucune notion de la limite intime des gens ? Je me décale de quelques centimètre en te regardant de haut en bas sourcil froncé en cachant du mieux que je peux ma très faible voir inexistante musculature, ne tardant pas à décrisper mon visage quand mes yeux détaillent le moindre de tes bijoux et ornements. Richement vêtu des pierres aussi grosses et magnifiques les unes que les autres, je crois que j’ai intérêt à bien me tenir. Ton accoutrement me fascine autant qu’il me terrifie, je me demande d’où tu viens, s’il s’agit d’une nouvelle mode Londonienne ou si tu viens d’une quelconque autre ville lointaine. Je suis fasciné par ce spectacle que tu offres à mes yeux, presque près à faire main basse sur ce que tu viens de dire et faire, seulement quelque chose me chiffonne. Comment quelqu’un d’aussi riche que toi peu marcher pieds nus ? Je sais qu’il y a des voleurs dans les rues, à chacun sa manière de travailler et ramener de l’argent, mais c’est aux bijoux voir aux bourses qu’ils s’attaquent et non aux chaussures. J’humecte mes lèvres qui tout de suite sont horriblement sèches ne sachant sur le moment ni quoi dire et encore moins quoi faire. Ma bonne conscience me dit de ne rien faire, de ne pas m’approcher et encore moins de te répondre, mais d’un autre coté si en effet tu es riche, je peux toujours essayé de t’entraîner chez moi et te soutirer quelques pièces.

Je marche donc a 4 pattes jusqu’à toi en prenant par la suite place sur tes genoux, ne mettant pas tout mon poids afin que tu ne sois pas trop déstabilisé et que tu ne perdes pas l’équilibre
.
S’il n’y a que cela pour vous faire plaisir. J’attrape tes colliers en tirant dessus pour que tu baisses la têtes et j’en rapproche la mienne, mes lèvres viennent doucement effleurer tes lèvres et je finis par déposer une furtif baiser dessus. Est-ce que cela fonctionne si la jolie princesse est en faite un beau prince ?? Je me redresse et je te repousse d’une manière plus ou moins innocente, mais suffisamment fort pour que tu tombes sur les fesses et je vais remettre ma chemise 2 fois trop grande en réajustant le col dont la manche trop grande dévoile mon épaule. J’espère ne pas vous avoir fait mal mon seigneur il m’arrive d’être maladroit y’à t’il quelque chose que je puisse faire pour me faire pardonner ? Apres avoir rassembler mes affaires, je viens m’agenouiller près de toi un petit air désolé aux visages effleurant du bout des doigts la croix d’or orné de pierre qui siège autour de ton cou. Objet vraiment fascinant et magnifique êtes vous vraiment croyant ? Parce que si c’est le cas resté avec moi vous mènera tout droit en enfer, le temps de l’innocence est révolu et ça depuis bien longtemps. Le bout de mes doigts quitte la croix pour glisser lentement le long de ton torse pour s’arrêter sur ton ventre, un sourire qui en disait long sur mes intentions, il arrive à un moment ou on ferait tout pour de l’argent.
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