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 |  Sujet: Re: Eizen Lown.  Lun 11 Avr - 21:52 | |
| HISTOIREChapitre premier. A mon vivant.- Jusqu'à la mort.Il n'était pas une fois. Il y'aura pas d'Happy End et ce n'est pas un compte de fée. C'est l'histoire d'une famille de nobles anglais, à l'autre bout du pays, dans une petite ville peu importante appelé York. Un petit coin tranquille et à part, avec beaucoup de personnes aisée et asses de paysans pour payer les impôts, parfaisendroit pour une vie longue et sans histoire. Vous imaginez bien le décor ? Le pire des ennuis. Je suis née ici, dans la famille Lown, je suis fils unique et, je dois bien travailler à l'école pour reprendre l'entreprise de papa. J'étais déjà promis, dès ma naissance à une jeune fille d'un an de plus que moi, bien coiffée, bien-élevé, qui ne l'ouvre pas, baisse les yeux, pleure pour rien, le sourire nié et le rire à en donner des claques, plus je grandissais avec, plus elle me dégoûtait, elle aimait les caramel, c'était la cause de son petit ventre, elle aimait aussi se mettre beaucoup de fond de teint pour cacher sa négligence. Ses passions ? Les poneys et la soumission. J'avais aussi une mère réservée, qui attachait plus d'attention à ses nouvelles robes qu'à moi, qui profitait bien de l'argent de mon père, qui suite à une maladie était stérile. Je suis donc son unique fils sa fierté. Dommage pour lui, ce n'est pas cette vie qui me faut. Moi ce que je veux, c'est l'inverse que ce qu'on me donne sur un plateau, je veux vivre.
C'est là où tout a commencé. Non seulement j'étais indiscipliné et en plus je ne faisais rien à l'école. Mon père avait beau me frapper, je répondais tout le temps, être méchant avec eux, j'adorais ça, je prenais du plaisir à faire pleurer ma promise, je suis bien trop beau pour elle non ? Un jour, pour mes 15 ans, je suis parties, j'ai volé de l'argent et je suis partis loin, là où le premier train pouvait m'emmener. C'est donc un pur hasard que je me suis retrouvé dans cette gare, une nuit d'été étrangement fraîche, malgré l'heure tardive, il y avait quelque personne dans les rues, tous bien habillé parmi quelque clochard, il marchait toute la tête haute, j'ai mis seulement quelque minute pour me rendre compte que j'étais à Londres.
J'avançais plutôt rapidement sans être préssée dans une rue centrale, et j'ai croisé un petit chien qui avait l'air gris dans la pénombre. Il s'est précipité sur moi, comme s'il retrouvait son maitre, sans collier, souriante, je me suis accroupie pour le caresser.
- Tu es perdu ? Toi non plus tu n'appartiens à personne ?
Ai-je ricané et lui gratouillant l'oreille
- Akuma ! Akuma !
Il a réagi à son prénom, c'était une belle voix, douce, féminine, avec un accent français important. La personne c'est placé debout devant moi, me regardant de haut, la nuit la cachait, je pouvais voir qu'elle était plus petite que moi, mince avec de longs cheveux blonds noués par un ruban rose. Malgré son air d'enfant, elleprit l'air le plus sérieux possible, sans me relever, je lui ai souri, elle n'a pas bouger d'un pouce, elle m'aregardé comme si quelqu'un c'était aperçus qu'il y avait un défaillance dans son nouveau plancher qu'ilavait payé cher, puis elle a fini par lâcher, surprise :
- Qui es-tu ?
La jeune fille prit sa bête poilue dans les bras comme si elle avait peur qu'elle s'enfuit. Je me suis relevé aussi, maintenant c'était moi qui l'a regardait de haut, je faisais une demis tête de plus qu'elle, elle était très blanche avec des yeux verts, l'air embarrassé, elle m'a répèté la question en articulant de peur que je ne l'a comprenait pas avec son accent, j'ai encore sourit bêtement, qu'elle était belle !
- Euh... Je suis...
- Tu es ? Insista-t'elle.
- Je suis perdu.
Ai-je répondu en soupirant, elle me fixa d'un air hébété, puis se mit à rire doucement sans retenue
- Bonsoir, perdu.
J'ai ris aussi, on a échangé nos vrais prénoms, puis elle m'a ramené chez elle. Tout c'est passé rapidement, mais pour moi, tout allait changer, sans le savoir, je m'étais jeté dans la gueule du loup.
Le lendemain, je me suis réveillé difficilement dans des draps proprent sur un petit matelas a même le sol, j'ai mis quelque instant à me rendre compte que je n'étais plus dans mon petit lit douillait et que personne allait m'apporter le déjeuner au lit. Je me suis levé, je sentais le parquet froid sous mes pieds nues. J'ai ouvert la première porte que je voyais quimenait a une petite cuisine modeste, avec cette fille qui préparait des choses à manger.
Jade
Le petit chien, Akuma, a remué la queue en me voyant sans bouger de sa panière, il n'était pas gris mais bel et bien blanc comme la lune ou comme de la neige, blanc comme la peau naturelle de sa maîtresse
-C'est pas trop tôt !
M'a-t-elle dit comme si c'était ma mère, elle était encore plus belle le jour, j'ai rougis sans m'en rendre compte en la voyant vêtue que d'une légère chemise de nuit, sans un mot, je me suis assied sur une chaise comme un bébé qui attendait sa nouriture, puis, vu le silence, j'en ai profité pour lui parler :
- On est ou ?
- Chez moi.
- Toute seule ?
- Avec mon frère, mais il n'est pas là
- Et tu as quel âge ?
Elle s'est arrêté de touillé son saladier, à première vue elle préparait des pancake, elle m'a regardé d'un air espiègle
- J'ai 20 ans
- Menteuse.
- Ben, ne me crois pas si tu veux.
Elle a repris son occupation, j'en ai profité pour regarder autour de moi, elle ne vivait pas dans la misère mais elle n'était pas riche non plus, Jade à finit le déjeuner, j'en ai mangé qu'une seule, puis elle m'a proposée qu'on aille se promener, il était encore tôt, j'avais du dormir 3 heures à peine, elle et moi on a parlé, elle n'a pas de parents, elle vit de l'argent que lui envoit son frère tous les mois, et elle m'a avoué qu'elle avait 14 ans. Moi,j'ai pas dit grand-chose, elle ne sait même pas mon âge je crois mais c'est pas grave, c'est quand même incroyable la chance que j'ai d'être héberger. J'ai l'impression de tomber amoureux... Chapitre deuxième : A ma mort.Jade et moi, on c’est débrouillé ensemble, elle a fait preuve de patience pour s’occuper de moi et oublier mon mauvais caractère et mes coups de colère, j’ai pris sur moi pour supporter ses blagues et son excitations constante, je l’aime. Elle le sait, je ne vis que pour elle, la fille de mon rêve, qui éclaire mes nuits.
Mais, elle est morte. Quelqu’un l’a tué. Encore une fois, tu as changé, je suis un monstre, on a dévoré mon âme de la manière la plus terrible qu’il soit, je ne me souviens pas de grand-chose, mais surtout que j’ai tué beaucoup de personne. C’est ça qui m’a calmé, je me sens vide et froide, pire qu’avant, j’aimerais mourir, mais je pense que je le suis déjà, j’ai aussi cette marque depuis peu, sur ma nuque. Je meurs de faim aussi, j’attends une âme.
J’étais partit, encore une fois, je ne comprends rien, mais c’est sans regret. (fin un peu bâclé, je vais me rattraper sur le reste de la présentation.) |
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