Rose Branford ; Lumière éternelle.

¤~Généralités~¤

Nom : Branford.

Prénom : Rose .

Race : Humaine.

Age : 23 ans.

Sexe : Femme.

Rang : Civile ; petite bourgeoisie.

Rôle/Fonction: Petite bourgeoisie ; Dirigeante d'une entreprise de vêtements pour femme.

Nationalité : Anglaise.

Sexualité : Hétéro.

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¤~Descriptions du personnage~¤

Description physique :

Apparence physique : Rose est une jolie fille, qui parait douce et gentille de part ses traits fins. Elle possède néanmoins des lèvres pulpeuses et affiche un petit sourire en permanence. La jeune femme arbore des yeux noisettes encadrés par une chevelure brune également et légèrement ondulée. Sa taille svelte en a fait rêver plusieurs et en a fait des jalouses ! Elle est plus grande que les jeunes femmes de son âge mais ne néglige pas pour autant les hauts talons. Elle a pour l’habitude d’être légèrement maquillée pour d’éventuelles entrevues avec d’autres dirigent(e)s et possède de belles et douces mains. Malheureusement, à toute beauté, il y a des défauts… . Elle a une grande cicatrice dans le bas de son dos suite à son passé dans lequel elle s’efforce de ne pas vivre.

Allure et goût vestimentaire : Rose aime porter des robes aux couleurs claires qui s’allient parfaitement à la blancheur de sa peau. Elle aime également les accessoires, et en porte souvent. Elle décore souvent ses cheveux d’une rose (en référence à son prénom) et aime les fins bracelets en argent et on or.

Particularités : Elle accroche toujours une rose dans ses cheveux et possède une cicatrice dans le bas de son dos.


Description psychologique :

Qualités : Rose peut être qualifiée de quelqu’un facile à vivre. En effet la jeune femme n’embête pas son monde et est quelqu’un de très gentil avec ceux en qui elle a confiance. Elle est très douce envers ses proches et de son chien, Biscotte. Elle est également très souriante et de bonne humeur, c’est rare quand la demoiselle se fâche… et cela dépend pour quoi. Elle se montre très polie envers les autres.

Défauts : La jolie brune est assez… gourmande. Elle adore les mets fins, les sucreries et mange de bonne grâce. Pas non plus qu’elle exagère, mais ne jamais laisser traîner un plateau de gâteaux ou de gâteries, sinon vous pourriez dire adieu aux aliments ! Elle est assez méfiante envers les inconnus, surtout envers les hommes. Elle possède deux personnalités, la douce Rose, laquelle on a l’habitude de voir et… la froide Rose. Quand la jeune femme perd son sang froid, elle devient froide, méchante, cruelle et insupportable. Dans ces moments, elle pourrait se surnommer « Black Rose ». Enfin, cette personnalité n’apparaît que peu souvent.

Ce qu’il/elle aime : Elle aime beaucoup ses proches, mais aime beaucoup manger. Elle adore se promener dans le jardin avec son chien et le câliner. Elle aime les roses car sa maman lui a souvent dit qu’elle était aussi jolie qu’une rose. Elle aime coudre, dessiner, jouer du piano et lire quand elle a du temps libre.

Ce qu’il/elle n’aime pas : Il n'y a pas beaucoup de choses qu'elle n'aime pas. Il y a juste les "loups" en qui elle voue une peur assez forte et elle hait par dessus tout les jonquilles.

Autres choses à signaler : Elle a affiche constamment un petit sourire.


¤~Histoire~¤


Lors de ses dix-neuf ans, Rose avait reçu une superbe réception d’anniversaire avec beaucoup de personnes, de joie et surtout de mets auxquelles Rose ne se priva pas. L’estomac bien rempli, elle but un thé, discuta avec ses tantes et cousines. Quelle belle journée ce fut ! Evidemment toutes choses ont une fin et la réception se termina dans la joie et la bonne humeur. Le lendemain de son anniversaire, au crépuscule, elle se balada dans la forêt qui se trouvait près de son manoir. Avec sérénité, elle s’enfonça dans ladite forêt et cueillait des fleurs, principalement des jonquilles. Elle était née au printemps, le mois où toutes les plantes refleurissent, où la chaleur s’installe, douce et agréable autant dans les cœurs que sur le pays. La nuit commençait légèrement à tomber, la jeune fille décida donc de rentrer, mais remarqua qu’elle s’était perdue.

« Mais enfin… comment ai-je pu me perdre aussi bêtement ? ».

Elle continua à marcher sans pour autant s’affoler de trop, sachant très bien que cela n’arrangerait pas son problème. Elle vit une silhouette au loin, mais n’y prêta pas attention, obéissant à ses parents qui lui disaient de ne pas s’approcher des inconnus. Il ne lui sembla pas qu’elle avançait dans la forêt, elle avait l’impression qu’elle devenait plus profonde, plus sombre… et là, elle commença à paniquer. Elle sentit une main se poser sur son épaule et se mit à crier.

« Oh, je suis confus si je vous ai fait peur mademoiselle. Avez-vous besoin d’aide ? demanda poliment un homme ».

Il devait avoir dans la vingtaine et il fallait l’avouer, était très joli… . Néanmoins, Rose avait un air apeuré et interrogateur.

« Oh, mes excuses, dit l’homme en s’inclinant. Je m’appelle *****.
-Je… me suis perdue. Pourriez-vous me ramener sur la route s’il vous plait ?
-Bien sûr. Suivez-moi ».

Rose était rassurée de savoir qu’elle allait bientôt rentrer à la maison. Mais elle ne savait pas que même si l’innocence et la naïveté pouvaient s’avérer mignon quand on est enfant, elles pouvaient s’avérer fatales… .

Suivant le jeune homme aveuglément, elle ne vit pas qu’elle s’éloignait de plus en plus et se retrouva devant une maison de tout ce qui avait de plus normal. Elle paniquait fortement et elle avait raison… .

« Avance ! ordonna le jeune homme d’un ton sec en la poussant ».

Elle entra donc dans la maison, n’ayant pas le choix et s’arrêta dans une pièce qui lui semblait être la cuisine pour le peu qu’elle fit attention. Le jeune homme prit un couteau de cuisine et menaça Rose qui dût monter jusque dans la chambre.

« J’ai vraiment de la chance. Aujourd’hui, il n’y a même pas mes parents, sourit-il d’un air fou et sadique ».

Rose sentit deux mains se placer sur sa taille et deux lèvres se poser sur les siennes. Les mains remontèrent pour retirer la robe qu’elle portait avec brutalité. Elle était à présent nue et se sentit tomber sur le matelas et les mains parcouraient son corps de jeune femme. Elle sentait le souffle rauque de l’homme sur sa peau et les larmes affluaient sur les joues de la jeune demoiselle. Elle savait très bien qu’il jouait pour le moment et elle essayait de s’enfuir, mais il était trop fort pour elle. Le moment tant redouté arriva, et elle se fit prendre sa virginité par cet homme, par ce « Loup ». Il s’arrêta un instant, et dans un élan, Rose se leva, et courut jusque la porte. Mais l’homme l’avait prévu et la retint prisonnière.

« Tu penses t’en tirer comme ça ? susurra t’il en se collant contre elle ».

Il fut pris d’un rire sadique et son regard prit un air de fou. La jeune femme ne sentait même plus les larmes, elle sentait la proximité du couteau, et le « Loup » qui lâchait ses poignets. Dans un réflexe de survie, elle s’avança vers l’avant d’un coup, mais reçu tout de même le couteau dans le bas de son dos. Il traversa sa peau délicate en une ligne et lui infligea une douleur atroce. Elle surmonta tant bien que de mal cette douleur, et courut vers les escaliers.

Malheureusement, son pied manqua une marche, et elle dévala le reste en avant.
Elle avait maintenant une jambe fracturée et ne pouvait plus bouger. C’en était fini, elle le savait… .

« S’il vous plait… aidez-moi… SAUVEZ-MOI !! ».

Je peux t’aider si tu le souhaites… . Si tu fais un pacte avec moi, tu auras la vie sauve. En échange de ton souhait, j’aurai ton âme à l’heure de ta mort.

Tuez le ! MAINTENANT !

Le sang gicla sur le corps nu de Rose. Elle sentit deux mains la soulever du sol et on la couvrit d’un drap. Une jeune fille ramena Rose chez elle et fut de suite conduite à l’hôpital.

Je hais les jonquilles… .


« Lilly-Anne ! Saurais-tu où est mon nécessaire à couture ?
-Le voila maîtresse, répondit la jeune fille en lui tendant ledit objet.
-Merci ! sourit Rose.
-C’est normal maîtresse.
-Au fait… quel âge dis-tu avoir encore ? demanda Rose.
-Je n’ai jamais rien dit là-dessus. De plus, je ne compte pas, informa Lilly-Anne.
-Oh… . Alors ton jour d’anniversaire sera le même jour que moi ! s’exclama Rose dans un sourire éclatant ».

Si Rose put retrouver son sourire, si elle put redevenir de si bonne humeur, c’est grâce à ses proches et aux professionnels de la psychologie. Bien sûr, elle était en vie grâce à sa servante… Lilly-Anne. Grâce à eux, elle joua du piano comme elle n’en avait joué, elle dessina des croquis de vêtements comme elle n’en avait dessiné, et devint dirigeante d’une entreprise de vêtements pour femme.


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On voit ici que de jeunes enfants,
Surtout de jeunes filles
Belles, bien faites, et gentilles,
Font très mal d’écouter toute sorte de gens,
Et que ce n’est pas chose étrange,
S’il en est tant que le Loup mange.
Je dis le Loup, car tous les Loups
Ne sont pas de la même sorte ;
Il en est d’une humeur accorte,
Sans bruit, sans fiel et sans courroux,
Qui privés, complaisants et doux,
Suivent les jeunes Demoiselles
Jusque dans les maisons, jusque dans les ruelles ;
Mais hélas ! qui ne sait que ces Loups doucereux,
De tous les Loups sont les plus dangereux.
Charles Perrault, Histoires et contes du temps passé, 1967.