Kuroshitsuji - Black Butler RPG
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 Une blessure et la Fumerie [PV: Ranmao & peut être Lau ]

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MessageSujet: Une blessure et la Fumerie [PV: Ranmao & peut être Lau ]   Une blessure et la Fumerie [PV: Ranmao & peut être Lau ] Icon_minitimeSam 4 Déc - 1:20

Fuir, fuir, fuir toujours fuir. Tout abandonner pour fuir, pour vivre, jusqu'à mourir. Courir, encore et toujours, pour être. Pourquoi continuer? Pourquoi? Elle ne savait pas, elle ne savait plus. Elle aurait du ce laisser attraper par cette homme par les larbins de sont « maître » la ramener au manoir. On l'aurait tuer et ses petites jambe, qui ne la portait plus n'auraient plus a souffrir, et sont cœur, remplie de haine, aurait trouver, la paix.

Elle continua de courir ne faisant pas attention a paysage, ne prêtant pas attention a la beauté qui l'entourait sentant juste le froid fouetter ses longs cheveux. Soudain quelque chose de froid tomba avec lenteur sur sont visage. Avec lenteur elle ralentisse pour, au bout d'un moment s'arrêter. La petite albinos avait la tête levées vers le ciel les délicats flocons tomba de plus en plus du gris ciel si triste, la remplissant d'une nostalgie inconnu.

« - De la … neige? »

Elle tandis les mains en avant telle en soucoupe dans l'espoir dans récolter quelque un, mais, un a un, il fondirent, mais, certain ce déposer avec délicatesse dans ses cheveux la couvrant peu a peu d'un manteau blanc et froid.

Sans savoir pourquoi, les larmes coulèrent de ses yeux. Non, en faite elle savait, il suffisait de remonter 9 ans en arrière, il suffisait, de remonter au soir ou le désespoir envahit sont cœur, un soir et une fête foraine et … de la neige.

Elle ferma les yeux, chassant cette pensée déplaisante et par manque de force d'avoir tant courut se laissa tombait a genoux sous cette neige. Elle avait froid. Mais que dire? Que faire? Elle, en se longs soir d'hiver, avait pour la première fois, l'intention d'abandonner.

Des bruits au loin ce fit, elle ne bougea pas, elle ne bougerait pas mais quelque chose la mordu, la mordu fort et de sang froid et surtout, a sang. Ne s'y attendant pas, elle étouffa un sanglot et cria de douleur. Se relevant et regardant ça jambe elle vu que la chose qui l'avait mordu qui n'était autre qu'un chien ne lâchait pas ça cheville, par défense elle sortie sont sabre et entailla l'animal. Au loin des chien aboyaient, il signifier ça mord des blessures et des larmes.

Des larmes, elle n'en voulait plus déjà a l'instant elle avait trop pleurer. Par courage, Kimberly serra les dents et se remit a courir loin d'eux. Elle fuyait a nouveau. Est-ce … mal? Handicaper par ça jambe, les chiens et les larbins de sont « maître » se rapprochaient.

« Une chute »

Elle chuta sur le coté dans une ruelles, pas très accueillante de Londres, une odeur de drogue s'en dégagez, sur le côté, elle pu apercevoir un escalier de métal entendant les pas se rapprocher, avec difficulté elle se releva et s'y dirigea les descendant lentement les lourde marche grimaçant de douleur.

Elle arriva dans une pièce, noir et sombre mal et eclairer ou, non plutôt remplie d'un épais brouillard odorant.

« - Qu'est que »

Cherchant du regard quelqu'un elle aperçut plusieurs silhouette, la petite femme s'approcha et, s'inclinant elle dit solennellement:

« - Je vous pris de m'excusez, je ne pensée pas que cette endroit était habiter, je cherchais simplement un endroit où me cacher »

Elle se redressa et malgré qu'elle soit déranger par l'odeur de la fumée et sa jambe blesser, sourit avant de rajouter.

« - Je suis Kimberly Wood »
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MessageSujet: Re: Une blessure et la Fumerie [PV: Ranmao & peut être Lau ]   Une blessure et la Fumerie [PV: Ranmao & peut être Lau ] Icon_minitimeSam 11 Déc - 1:05

Ranmao était une personne calme, pour ne pas dire blasée.Elle avait vu tant de choses et de gens défiler au cours de la vingtained’années qu’elle avait passé sur Terre, qu’il en fallait beaucoup pourl’étonner. Et de toute façon, elle ne manifestait pas sa surprise ; autanttenter de faire réagir une pierre. Cependant, la jeune femme devait reconnaître que certaines personnes étaient hors normes. De par le milieu danslequel elle évoluait, elle en rencontrait d’ailleurs régulièrement. Tiens, cepetit comte, par exemple… Ciel Phantomhive. Il fallait bien admettre qu’on necroisait pas des gens comme ça tous les jours, même si aux yeux de Ranmao,c’était surtout l’intérêt que lui portait Lau qui faisait sa valeur.

Un léger bruit sortit la chinoise de ses pensées. Un fumeur,pris d’une quinte de toux, avait recraché son embout. L’une des jeunes femmesqui déambulaient dans la pièce afin de surveiller la bonne marche del’établissement s’accroupit à ses côtés et l’installa correctement ; leclient repartit bien vit dans son abrutissement béat. Ranmao n’avait pas bougéd’un cil, se contentant de parcourir mécaniquement la salle du regard,vérifiant que ce mouvement n’avait pas porté à conséquence. Son travail, enl’absence de Lau, consistait peu ou prou en celui de patron. Mais lescontrariétés étaient exceptionnelles, et la jeune femme se contentaitd’observer et d’attendre, allongée lascivement sur de gros coussins disposés àl’avant de la salle, face aux escaliers de l’entrée ; en l’occurrence, elles’était retournée pour observer à son aise les clients. Présenter son dos ainsin’était peut-être pas très accueillant, mais Lau avait déclaré un jour que sonpostérieur avait un potentiel attractif certain.

Clignant des yeux à cette idée agaçante – elle n’était pasnon plus une vulgaire courtisane, si ? – Ranmao se plongea, comme souvent,dans une contemplation un peu distraite du décor. Une fumée épaisse avaitenvahi la totalité de la salle, recouvrant les clients, arrondissant les anglesde leurs couchettes, gommant les détails des motifs chinois. Sur le mur dufond, une petite pendule orientale indiquait dix heures. Du soir,probablement ; rien n’était sûr néanmoins, car une lumière crépusculaire régnaittoujours dans la fumerie, et la jeune femme ne s’intéressait pas vraiment à lamanière dont le temps s’écoulait. Elle se contentait de dormir quand elle étaitfatiguée et que c’était possible, et de manger dans les mêmes conditions.C’était une vie que beaucoup auraient considérée comme dissolue, maisqu’elle trouvait au final assez équilibrée. Le plus important n’était-il pas decombler ses besoins ? N’était-ce d’ailleurs pas pour cela que la fumerieétait garnie de clients ?
Son frère, en amenant l’opium en Angleterre, avait par lamême occasion créé un besoin, et s’était fait un devoir que d’y répondre.C’était le principe de base du commerce, mais apparemment, chez lesoccidentaux, tout le monde ne s’en était pas encore rendu compte…

Soudain, un son métallique tira Ranmao de ses réflexions, etlui fit tourner la tête ; quelqu’un descendait les marches en métal menantà « son » sous-sol. Une femme de petite taille surgit, se présenta ets’excusa très poliment.
Quelqu’un de plus expansif que la chinoise auraitprobablement ri au nez de cette inconnue. Depuis quand entrait-on par accidentchez un dealer d’opium, pour se cacher ?

La jeune femme se contenta de se redresser face à lademoiselle. Elle l’observa d’un air inexpressif, la détaillant comme elleaurait évalué un meuble au cours d’une brocante, et constata qu’elle étaitmouillée – quelques flocons terminaient de fondre sur ses épaules –, habilléeplutôt simplement, qu’elle était blessée, qu'elle était albinos, de stature frêle, et qu’elle avait pleuré.
Sans dire un mot, Ranmao attrapa en douceur son interlocutrice par lamanche et la fit asseoir sur les coussins où elle se tenait un instantauparavant. Elle saisit sous l’un d’entre eux une trousse de soins qu’ellegardait toujours près d’elle quand Lau était absent, et la posa à côté del’inconnue, l’invitant à se soigner elle-même. Il ne fallait pas pousser la générositénon plus.

Enfin, Ranmao fit un signe discret à l’une des filles quipassait près d’elle, et elle disparut dans l’arrière-boutique. Le temps que lachinoise se rassoie et se mette àfixer avec un désintérêt total la demoiselle qu’elle venait d’aider, l’employéerevint et déposa une couverture sur les épaules de leur invitée, puis laissa àleurs pieds un plateau contenant deux tasses de thé et des petits biscuitschinois, et se fondit à nouveau dans les ombres de la fumerie.
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