La crypte de l'ombre (en cours d'écriture)

Un vieux cimetière, une vieille Eglise abandonné dans la campagne pres de la ville. C'est ici que vivait Anna Liaomasis, dans un endroit isolé de tout cependant elle entretenait tout les jours le vieux cimetière en netoyant les tombe et les fleurissant...

Au fin fond du vieux cimetière on pouvait apercevoir l'entré d'une vieille crypte, on pouvait y lire l'inscription:
Ipse mors dat somnum aeternum amis castis
(La mort donne le repos eternels aux ames purs)
L'encadrement de la porte en pierre ou était écrit cette inscription était finement ouvrager et les lezarde y rajoutait même du charme.
La porte en bois de chêne était elle aussi extrémement bien travailler. Les gravures représentait une sorte de bataille c'étant dérouler il y a fort lomptemps....
Une fois la porte passer on tomber directement sur un escalier en marbre qui déscendait, déscendait... La lumière bleutée des torches guidait le visiteur jusqu'au tréfond de cette endroit.
Une autre porte était visible à la fin de l'éscalier, celle ci était plus sobre, mais le cadenas quand a lui était complex, une serrure en fer forgée représentant un coeur entouré d'épines. Une clef cacher dériere une pierre du mur pouvait l'ouvrir.
Une fois cette porte ouverte, une grande pièce spatieuse et décoré s'étendait, les niches qui servaient autrefois a mettre les cerceuilles avaient était transformé en canapée.
A gauche de cette pièce une mini cuisine, enfin si on pouvait califier un endroit pour mettre du feu et trois casserole ainsi qu'un placard une cuisine... Un rideau fin séparer cette "cuisine" du reste de la pièce, une grande table au millieu de l'endroit quelque tapi au sol des bougie éparpillé partout...
La chambre elle aussi était séparé du reste de la salle par 3 colonades et un rideau violet épais, le lit était dans une niche a cerceuille asser vaste et la décoration de cette "pièce" était composée d'une armoire et d'une table de chevet.
Pres de la chambre on pouvait voir une autre porte qui conduisait vers une salle de bain luxueuse cette fois ci, tout ce qui avait été fait de plus moderne à cette époque était réunis dans cette pièce, ce qui pouvait en surprendre plus d'un....



[Ce soir là]


Anna rentrait chez elle après une journée monotone, les quelques vieilles toile d'areigner cramée avait été sa seule distraction de la journée. Elle ferma la porte et se laissa tomber dans une des niches aménagé en canapé.

_"Quel ennuie, des fois je me demande si je ne devrait pas partir et laissé mes instint meurtrier reprendre le dess... ?!"
Un bruit l'avait sortit de ces penssé, quelqun se dirigeait magnifestement par ici, mais qui?

Après avoir longuement marché suivant les indications d’un enfant pour se rendre à l’auberge, Arsène Lupin se sentit quelque peu roulé lorsque le chemin sur lequel il s’était aventuré déboucha sur un cimetière. Loin d’en être ravis, le cambrioleur maudit alors ce sale morveux qui lui avait menti et fait une mauvaise farce. Mais que faire ? La nuit était tombée, et revenir sur ses pas aurait été inutile, d’autant plus qu’il ne savait pas où se rendre. Soupirant il se décida à partir à la recherche du gardien de la ville des morts, dans l’espoir que celui-ci accepterait de l’héberger dans sa petite maison pour la nuit.
Quelle ne fut pas sa surprise lorsqu’il se rendit compte que la grille du cimetière était fermée ! Comment allait-il trouver le gardien maintenant ? Loin de se décourager, il escalada la grille et se faufila tel un félin dans la nécropole. C’était illégal, certes, mais près tout il était un hors la loi depuis plusieurs années déjà, et il pourrait toujours raconter qu’il s’était fait surprendre par la nuit alors qu’il venait rendre visite à sa défunte famille.
Il zigzagua entre les tombes, les feux follets dansaient aux quatre coins du cimetière lui éclairant faiblement le chemin. L’ambiance et l’atmosphère du lieu ne donner guère envie de s’y attarder, et le gardien restait pourtant introuvable. Décidément l’Angleterre était un pays qui lui portait malheur.
Il était sur le point de rebrousser chemin, lorsqu’un petit lapin sortit de derrière un buisson. Personne n’était au courant, mais Lupin adorait les lapins, si bien qu’il se mit en tête de suivre celui-ci. Le petit animal lui fit traverser la ville mortuaire en long, en large, et en travers. Mais captivé par cette petite boule de poil Arsène ne ressentait plus cette impression d’étouffement et de tristesse qui l’avait envahi quelques minutes auparavant.
Il continua ce petit manège une bonne dizaine de minutes, avant que le lapin ne disparaisse de sa vue en se faufilant dans un trou de l’enceinte du cimetière. Le cambrioleur leva la main et fit un petit signe d’adieu à son ami poilu. Puis, se retournant il fut surpris de se retrouver face à une crypte dont la première porte, entrebâillée, laissait apercevoir un filet de lumière. Le gardien serait à l’intérieur ?
S’approchant lentement il réussit à lire au-dessus de l’entrée de « l’habitation », l’inscription latine : ipse mors dat somnum aeternum amis castis, qu’il répéta tout bas
« La mort donne le repos éternel aux âmes pures, aurai-je le droit à ce repos ? J’espère bien que non ! passer ses journées à ne rien faire, quel ennui ! »
Sur ses mots, il poussa la lourde porte et entrepris de descendre dans les entrailles de la crypte. Appuyé au mur qu’illuminaient les torches dont les flammes dansaient à son passage, il dévala les marches une par une. Et arrivé au terme des escaliers, il s’écria d’une voix claire.

« Excusez-moi ? Y a-t-il quelqu’un ? »

« Excusez-moi ? Y a-t-il quelqu’un ? »
A cause de la surprise elle avait répondu sèchement à son interlocuteur. Après tout seul, un idiot viendrait se paumé au beau millieu d'un cimetière et surtout, viendrait frappé à la porte d'une crypte. En tout cas c'était le sentiment d'Anna...

"Oui, il y a quelqu'un, qui êtes vous?!"
Anna n'avait même pas laisser le temps pour qu'il réponde. Elle se dirigea vers la porte et l'ouvrit , c'est là quel tomba nez à avec son interlocuteur.

"Excusez-moi d'avoir était un peu brusque, mais un cimetière abandonné ne reçoit pas de visite tout les jours... Il doit faire nuit à cette heure ci, je suppose que vous voulez rester? Ou voulez vous tout simplement que je vous indique le chemin du retour et vous donne une torche?"
Le ton de sa voix avait changé, après tout cette personne n'avait ni un physique, ni une aura désagréable, c'était un humain charmant.

Elle lui montra une des niche et lui montra une sorte de porte manteau pour qu'il puisse poser sa veste, comme il faisait un peu froid, elle alluma un feu dans la cuisine qui réchauffa l'atmosphère. En effet Anna aimait vivre dans le froid, elle n'aimait pas tellement la chaleur dans un pièce et se disait à elle même comme excuse que sa lui donnait mal au crâne... Bien que cela soit étrange pour un démon de ne pas aimer la chaleur, eux qui logiquement vivait dans l'enfer. Elle prépara ensuite un peu de nourriture, du riz au curry avec un peu de viande, elle remarqua que l'invité regardait bizarrement la viande, et dit:

"Ne vous inquiétez pas, je ne mange pas des cadavres, sa provient de la foret à coter.Au faite, quel est votre nom et ce qui vous à fait venir ici?"
Elle attendit sa réponse, puis installa le couvert et servit Arsène. Cependant l'ambiance était un peu pesante....

Même les flammes émanant de la cuisine et les bougie semblait figée, comme si une ombre planait dans cette pièce. Qu'allait il se passer ensuite? Une nuit dans une crypte n'était pas tellement ce que l'ont pouvait rêver de mieux, mais bon c'était ça ou dormir dehors au milieu des feu follet....





(gomene pour le retard ^__^"")

Quelle surprise !
Alors qu’Arsène s’attendait à rencontrer un vieil homme barbu et bourru, il se retrouva face à une jeune fille d’une quinzaine d’année. Les premiers mots qu’elle lui adressa furent secs et agressifs mais lorsqu’elle se retrouva face à lui elle sembla se calmer et retrouver sa douceur féminine. Tout de suite, elle compris qu’il cherchait un endroit où se loger et se proposa immédiatement de l’héberger pour la nuit. Arsène restait bouche baie, La crypte avait été aménagée à la façon d’un petit appartement, peut être pas un luxueux appartement, mais tout de même, quel étrange endroit pour vivre. Il obéit, immédiatement à la requête de la jeune femme dont il ignorait encore le nom, se décoiffa et accrocha chapeau et capeline au portemanteau qu’on lui indiquait. S’asseyant ensuite dans une niche disposée à la façon d’un petit fauteuil, il observa silencieusement son hôte qui avait commencé à préparer le repas. Elle alluma un feu en quelques minutes et mis à cuire du riz et de la viande. La jeune fille s’adressa alors à lui probablement pour le rassurer et expliqua qu’elle ne mangeait pas de cadavre. Manger des cadavres ? Allons donc loin de lui une pareille idée ! Mais la phrase qu’elle ajouta ensuite lui noua l’estomac.

« Ça provient de la forêt à côté. »

De la forêt ? Mais… Dans la forêt, il y avait des lapins… Et si elle était en train de faire cuire un de ces pauvres petits lapinous. Arsène se sentit pâlir. Il allait falloir éclaircir ce point avant de porter une seule bouchée de cette viande à sa bouche.
Néanmoins il garda, une attitude de gentleman, et avant toute question à propos de ce repas, il se présenta, répondant ainsi aux questions de son hôtesse.

« Je me nomme Arsène Lupin, je suis en voyage à Londres pour affaires et je me suis retrouvé chez vous par pur hasard. En effet, j’ai eu le malheur de demander à sacripant mon chemin, et pour jouer un tour il m’envoya dans ce cimetière. Je pensais y trouver le gardien, mais la rencontre que je fais aujourd’hui m’est, ma foi, beaucoup plus agréable. »

La jeune fille installa les couverts et lui servit ce qui venait de finir de cuire. Le cœur du cambrioleur se serra de plus belle, il imaginait déjà un pauvre petit lapin, découpé sauvagement pour ensuite cuire dans une poêle grasse. Et puis, Arsène se sentait étrange, une lourde atmosphère régnée dans la pièce. Pourtant il ne se sentait pas mal à l’aise. Mais, allez savoir pourquoi, il avait l’impression d’être observé par chaque ombre de la crypte. Il faut dire qu’un tel endroit inspire forcément à développer une imagination morbide. Et puis pourquoi une si jeune demoiselle vivait ici ? L’endroit avait plutôt l’air abandonné vu de l’extérieur. Etrange. Mais avant toute question sur son hôtesse, il y en avait une qui lui brûlait les lèvres.

« Mademoiselle, je ne voudrai pas paraître impoli mais… Votre viande, est-ce du lapin ? »

Le jeune Français se sentait quelque peu gêné, la jeune fille lui avait offert le couvert et une pièce où il pourrait peut-être dormir, et lui, il trouvait encore le moyen de se plaindre. Franchement Arsène, quel gentleman !

( Pas de soucis ne t'inquiètes pas ! Et puis j'avais déjà préparé la suite, je n'ai eut que quelques phrases à rajouter, j'espère que ça ira. )

Quelle étrange demoiselle. Elle avait un côté charmant, mais il planait comme une ombre derrière cette façade angélique. Une ombre malfaisante et effrayante. Si bien qu’à la suite de l’innocente question qu’avait posée Lupin sur l’origine de la viande, le sourire démoniaque que lui adressa la demoiselle et le lourd silence qui régnait dans la pièce, lui donnèrent la chair de poule. Qu’est-ce que c’était que ce « truc » ? Une grimace fusa sur le visage du gentleman. Puis la jeune fille lui répondit du ton le plus délicat, qu’elle ne mangeait pas de lapins. Elle aussi aimait ses petites bêtes poilues, et elle rassura le jeune homme insistant sur le fait que ce n’était que du bœuf.

Du bœuf ? Allons bon, c’est parfait, ces énormes bêtes puantes et grasses, pas de soucis de ce côté là. Arsène dégusta son plat l’esprit en paix. Il s’avoua que le repas était succulent. Certes, cela manquait d’un bon vin français, mais il faut savoir profiter de ce que l’on a, n’est-ce pas ?

La gentille hôtesse indiqua par la suite le lit de Lupin. Pas de quoi s’émerveiller, un simple matelas avec une fine couverture. La nuit s’annonçait difficile. Mais bon, cela évitait au gentleman de dormir à l’instar des clochards, sur un vieux banc miteux Londoniens. Se glissant sous son drap Arsène tourna le dos à la demoiselle jusqu'à ce que les lumières fussent éteintes. Une fois cela fait, il se retourna lentement et fixa la forme sombre qui se dessinait en face de lui. Il ne pouvait se résoudre à s’endormir. Le sourire fou de son hôtesse hantait encore ces pensées. Il se souvenait de ce livre qu’il avait lut plus jeune, Alice aux pays des Merveilles. Et il ne pouvait dissocier le visage de son hôtesse de celui du chat de Cheshire, dont le sourire courait d’une oreille à l’autre. Il ne la voyait pas, mais il écoutait, au moindre son suspect il ferait semblant de dormir.

La nuit s’écoula lentement, Arsène respirait calmement et bougeait le moins possible. Soudain il entendit la jeune fille bouger. Il ferma immédiatement les yeux et poussa un semblant de ronflement. Attendant patiemment il entendit la porte s’ouvrir. Un rayon de lumière se faufila aussitôt dans la pièce pour disparaître quelque seconde plus tard.

Pourquoi diable la jeune fille était sortie à cette heure-ci ? Cela pouvait être dangereux, quoique dans un cimetières, les risques sont assez faibles non ? Interloqué par l’étrange agissement de son hôtesse Arsène se glissa hors de son lit, enfila lentement ses chaussures et grimpa les escaliers sans un bruit. Maître de la discrétion, le cambrioleur s’arrêta peut avant la porte d’entrée et écouta.

Il finirait bien par savoir ce qui se passait. C’est donc caché aux yeux de tous, par une nuit des plus noires, qu’il attendit, frémissant d’avance à ce qui allait arriver.

Le lendemain d’avoir emménagé dans sa nouvelle maison, Yoko décida d’inspecter les alentours. En passant par la forêt, Yoko aperçu un panneau avec écris dessus : “cimetière”… Elle voulue le visiter mais une pensée lui traversa l’esprit, la nuit, les cimetières abritent beaucoup de chauves-souris, étant donné qu’elle voue une passion pour les chauves-souris, Yoko visitera le cimetière cette nuit. Et donc, la nuit venue, Yoko alla visiter ce cimetière comme prévu.
Elle suivit le chemin partant de la forêt et peu à peu elle aperçut la grille immense du cimetière. La nuit tombait et le moment était propice pour observer les chauves-souris. Les grilles étaient fermées, elle escalada le mur à côté qui était plus bas que la grille, et elle réussit par passer par dessus. Une fois dans le cimetière, elle entreprit sa recherche de ces volatiles nocturnes. Elle marcha dans le champ de tombes et au bout d’un moment elle se retourna et se rendit comte qu’a force de marcher, elle s’était perdu.
Ce perdre dans un cimetière… Quelle idée. C’est alors qu’elle aperçu une crypte non loin de là, et que de la lumière s’en échappait. Yoko décida d’aller voir si quelqu’un serait dans la crypte et s’il pourrait l’aider à sortir de là. Elle s’arrêta devant la porte et lue : Ipse mors dat somnum aeternum amis castis… La mort donne le repos éternel aux âmes pures… joyeux.
Lorsqu’elle s’apprêta à toquer à la porte, celle-ci s’ouvrit et une jeune fille apparue.

[ Tu veux du rebondissement Anna ? Tu vas en avoir ! ]

Se décalant sans bruit jusqu'à l’entrebâillement de la porte, Arsène Lupin jeta un œil à la scène qui se déroulait devant la petite crypte. Une jeune fille tout de noir vêtu se trouvait face à son hôtesse, celle-ci la menaçant, un couteau sous la gorge. Le gentleman faillit intervenir, mais la menace tomba rapidement, la demoiselle de la crypte expliquant qu’elle avait eu peur. Néanmoins elle paraissait sur ses gardes et fort peu joyeuse de cette rencontre nocturne. Arsène garda un œil sur les demoiselles aussi étranges l’un que l’autre. Son hôtesse, dont il ignorait toujours le nom, tenait toujours le petit poignard fermement et restait en position de défense. Son interlocutrice en revanche semblait tout à fait normale, et même charmante. Les grosses lunettes qui lui barraient le visage lui donnaient un air de première de la classe. La seule tâche au tableau ? L’énorme cercueil qu’elle portait dans le dos. À quoi pouvais bien lui servir cette chose ? Arsène frissonna en imaginant qu’il était peut-être plein, l’image d’un cadavre putréfié fit pâlir le pauvre gentleman.

Étrangement, une odeur écœurante accompagna l’image macabre que se faisait le cambrioleur du contenue de la « valise » de la nouvelle venue. Mais l’immondice qui imprégnait les narines de Lupin venait de plus loin, au fond du cimetière une forme bougea.
Le regard du voleur se posa immédiatement sur cette forme mouvante. Elle se rapprochait. Les yeux d’Arsène s’écarquillèrent lorsqu’il réussit enfin à savoir ce qu’il avait en face de lui.

Un monstre poilu, les babines retroussées, la salive dégoulinant des crocs acérés. Il n’avait beau ne jamais en avoir vu, Lupin devinant immédiatement qu’il avait affaire à un loup-garou.
La bouche grande ouverte, le regard captivé par l’horreur qui se dressait devant lui, le petit Français n’en revenait pas. Un géant de plus de deux mètres de haut s’avançait furtivement vers eux. Il avait beau être gigantesque, ses déplacements restaient rapides et silencieux. Soudain Arsène se souvint des demoiselles, comment pouvaient-elles continuer de discuter ? Le monstre allait les dévorer !
Prenant sont courage à deux mains, Arsène Lupin sortit de sa cachette et se précipita vers les deux jeunes filles. Il hurla de toutes ses forces, mais déjà le loup-garou bondissait sur eux.

À peine la porte s’ouvrit qu’une fille surgit avec un poignard, et le pointa en direction de la gorge de Yoko. Tout d’abord, elle fut surprise par un accueil aussi charmant, mais après elle reconnue la fille. C’était celle qui lui avait acheté la viande. La fille la reconnu également et abaissa son arme. Après avoir soupiré, elle dit :

“Vous m’avez fait peur, vous aussi vous vous êtes perdue je suppose ?

Yoko se sentait persécutée par le regard méfiant de la fille, mais elle ne ressentait aucune haine ou autre, elle répondit donc calmement :

“ C’est exact, je me suis perdue en cherchant des chauves-souris, ce cimetière est vraiment immense…”

C’est alors que Yoko remarqua une présence au fond de la crypte, et elle se dit que la fille avait un invité. La crypte était sombre et humide, et elle aperçu les animaux recherchés suspendus au plafond. Elle sourit, c’est alors que la fille l’interpellât :

“Puis-je vous aider en quelque chose ? Voulez-vous rentrer dans ma demeure ?

- Je ne veux pas vous déranger car je vois que vous avait un invité, mais puisque c’est si gentiment proposé… Je veux bien.”

Lorsqu’elle fit un pas pour rentrer dans l’étrange maison, un “crac” se fit entendre derrière elle. Yoko se retourna et aperçu une masse volumineuse, toute velue avec de la bave dégouliner de son énorme gueule. Elle entendit alors un homme crier :

“ TIREZ VOUS !!”

Yoko pris donc l’habitante de la crypte par la main et courus avec elle à droite de la crypte. Elle vit l’énorme bête tomber à l’entrée de la maison, et regarder en leur direction, la jeune fille aux lunettes lâcha un : “Ça alors...” et demanda à la fille avec elle :

“pourriez vous l’attirer ou autre chose ? J’ai dans mon cercueil un revolver chargé avec des balles d’argent, mais il faut que je le sorte. Je n’aurais pas le temps de le sortir s’il me court après ! J’ai remarqué que vous n’êtes pas totalement humaine mademoiselle, alors est-ce possible ?”

La nouvelle venue avait très vite réagi. Dès que Lupin les eut mises en garde, celle-ci attrapa la main de l’hôtesse et l’entraîna à l’écart de la crypte. Le loup-garou tomba lourdement sur le sol, il le fixa un court instant puis se retourna vers les fillettes. Arsène ne comprenait pas, il n’était qu’à un mètre de la bête, mais celle-ci préférait s’en prendre à celle qui lui avait échappé. Soit le monstre n’aimait pas son échec, soit il en voulait à l’une des jeunes filles.

Lupin le regarda s’éloigner lentement, l’odeur putride qu’il dégageait devenait de plus en plus forte à chacun de ses mouvements. Il hésita, il savait que les jeunes filles étaient en danger mais il était certain que son hôtesse pourrait gérer la situation. Son sourire démoniaque lui revient alors en tête. Elle gèrerait la situation c’était certain, mais elle risquait de le tuer. Le cambrioleur réfléchissait à toute allure ses yeux allants des fillettes au loup-garou en passant par chaque recoin du cimetière. Il cherchait une solution. Le monstre n’était qu’un homme maudit, le tuer reviendrait à accomplir un pur acte de barbarie, pourtant il risquait de voler la vie des demoiselles. Que faire, que faire, que faire ?

Le regard de Lupin se posa à nouveau sur les jeunes filles. La demoiselle aux lunettes fouillait frénétiquement son cercueil tandis que la seconde changeait d’apparence. Changeait d’apparence ?! Arsène se frotta les yeux, non il ne se trompait pas. Affrontant le monstre du regard, son hôtesse se transformait en une sombre femme aux cheveux noirs et à la peau aussi pâle que la lune. Le cambrioleur tressaillit lorsqu’il aperçut dans la main de celle-ci, une faux du plus bel effet. Il sortit le petit calibre qu’il gardait toujours avec lui, vérifia qu’il était chargé et le leva au ciel. Mais il ne tira pas tout de suite. Peut-être la faux allait retirer la malédiction du pauvre homme. La « binoclarde » fouillait toujours, l’autre bondit d’un coup sur le loup-garou qui venait de tentait une attaque. Le monstre était dos à Arsène, si bien qu’il ne voyait rien de la scène de combat. Mais le rugissement de douleur de la bête suffit à le convaincre du danger encouru. Sans plus d’hésitation, il tira un coup de feu en direction de la lune. Le loup-garou gémit, et s’enfuie à toutes jambes.

Quelle chance ! Arsène pensait ces bêtes plus courageuses. Mais c’était tant mieux pour eux. Il se précipita jusqu’aux deux demoiselles.

« Allez-vous bien ? Mon dieu que faisait un tel monstre ici ? On aurait dit qu’il en voulait personnellement à l’une de vous ! Rentrons vite, j’ai peur qu’il se décide à revenir, et puis je crois que vous nous devez quelques explications mademoiselle. »

Il regarda son hôtesse. Qui pouvait bien être cette jeune fille, ou plutôt, qu’est-ce qu’était cette jeune fille.

Après avoir posé la question a la fille, Yoko posa son cercueil a terre et l’ouvrit. La fumée noire qui en sortit embrouilla la vision de Yoko, et elle eu du mal à trouver le revolver. C’est alors que lorsqu’elle se retourna pour le dire a la fille, elle aperçue une autre personne aux cheveux noirs comme l’ébène et a la peau clair comme le cristal, tenant une faux entre les mains.
Yoko en était sûre, cette fille n’était pas humaine, est-ce un démon ? pour l’apparence, ou un shinigami ? pour la faux. Même de dos, Yoko sentait la force oppressante de la fille, et même si elle était plutôt calme, la jeune fille aux lunettes tremblait et était excitée à la fois, voir un démon, ou un shinigami a l’œuvre n’est pas chose courante. C’est alors que la fille courue, faux a la main, en direction de la bête. Elle bondit et entailla violemment le torse du loup-garou.
Celui-ci hurla férocement, Yoko trouva enfin le revolver et s’apprêta a lui tirer dans la jambe lorsqu’un coup de feu retentit. Elle vit alors une grande personne, plutôt maigre, la main en l’air avec un petit calibre entre les mains. C’était lui qui avait tiré. Yoko se leva et rejoignit la fille et son invité. C’est alors que celui-ci dit :

« Allez-vous bien ? Mon dieu que faisait un tel monstre ici ? On aurait dit qu’il en voulait personnellement à l’une de vous ! Rentrons vite, j’ai peur qu’il se décide à revenir, et puis je crois que vous nous devez quelques explications mademoiselle. »

Il regarda la fille. Yoko proposa alors : “ Pourquoi ne pas en discuter calmement à l’intérieur ?”

Elle suivit alors la fille et son hôte à qui elle trouvait un air hautain et malicieux. Avant de rentrer dans la crypte, Yoko examina les alentours et aperçu du sang par terre. Elle sortit une fiole de sa veste et mis le sang dedans avec l’herbe imbibée du liquide. Un léger sourire s’esquissa sur son visage, après avoir ranger sa fiole, Yoko rentra dans la crypte avant que la porte ne se ferme.

Qu’aucune des deux demoiselles ne fut blessée rassura Arsène. Son hôtesse le regardait avec énervement. Arsène ne comprenait que trop bien pourquoi, il avait dû faire fuir son jouet. De toute façon, elle pourrait dire ce qu’elle voulait, il n’allait pas laisser un homme se faire tuer pour que mademoiselle puisse s’amuser. Ors de question, c’était contraire à son éthique. Elle le foudroya du regard, mais répondit à sa question très calmement. Enfin, répondit… Elle lui dit simplement qu’elle allait bien et que le Loup-garou semblait en avoir à la petite nouvelle. Elle n’évoqua rien à propos de sa transformation ou encore à propos de la faux. Comme si c’était normal. Ah ! Franchement ! Les êtres inhumains sont vraiment hautains, et cette fille ne perdait rien pour attendre !

Heureusement, la plus jeune, celle aux grosses lunettes proposa de rentrer au chaud pour discuter. Ce n’était pas de refus. Le regard menaçant de leur hôtesse énervait au plus au point le pauvre Arsène. Une fois rentré, tout ce petit mon s’assit, une lourde ambiance régnait. Personne ne parlait, ce silence commençait à être pénible ! La petite fille n’avait pas l’air décidé non plus. Et l’autre là, avec ses yeux de chats ! N’importe quoi ! Arsène, les poing serrés sur son pantalon, se mordait les lèvres de rage. Il bouillait, il ne savait pas pourquoi, mais la mystérieuse demoiselle transformable l’irritait plus que cela est permis. Il finit par craquer et lança d’une voix qu’il voilait calme et apaisait.

« Bien, puisqu’il y a une nouvelle venue je me présente. Je m’appelle Arsène Lupin, enchanté de faire votre connaissance jeune fille. Veuillez pardonner notre hôtesse de son silence, mais figurez vous qu’elle ne s’est jamais présentée. Ne lui ne voulons point, elle nous offre le gîte pour la nuit. Et c’est tout à son honneur. »

Le gentleman croisa les bras, se comporter ainsi n’était pas dans ses habitudes, mais il détestait lorsque des non-humains le prenaient de haut. Cela lui rappelait de très mauvais souvenir, trop mauvais pour qu’il laissent passer un tel affront.

Après avoir pénétré dans la crypte, Yoko s’assit sur la banquette à côté de l’homme aux cheveux noirs. Une lourde atmosphère régnait dans la pièce, et personne n’osait entamer la discussion. La fille observait Yoko et son hôte avec des yeux de félin tout en restant très calme, quant à l’autre, Yoko voyait qu’il se sentait mal à l’aise, ses mains étaient serrées sur ses jambes et il se mordait la lèvre. Aucun bruit ne traversait la pièce jusqu’à ce que le garçon se tournât vers la jeune fille habillée de noir et osât enfin entamer la discussion :

« Bien, puisqu’il y a une nouvelle venue je me présente. Je m’appelle Arsène Lupin, enchanté de faire votre connaissance jeune fille. Veuillez pardonner notre hôtesse de son silence, mais figurez vous qu’elle ne s’est jamais présentée. Ne lui en voulons point, elle nous offre le gîte pour la nuit. Et c’est tout à son honneur. »

Yoko fit surprise que même l’hôte ne savait pas comment s’appelait la fille qui nous hébergeait. Elle se tourna alors vers la fille pour se présenter aux deux personnes :

“Je me nomme Yoko Nagashi, je suis une vendeuse itinérante. Je parcours le monde en quête de découverte et d’objets en tout genre. Je me promenais dans ce cimetière pour trouver des chauves-souris car c’est un animal qui me plaît beaucoup. Mais la nuit est tombée très rapidement et je me suis perdue. Voilà pourquoi je suis ici…”

L’ambiance lourde et pesante était retombée, et la discussion avait commencé. Néanmoins, Yoko vit que cet homme, Lupin, observait notre hôtesse. Il avait sûrement été surpris par la prestation de la fille face au loup-garou, et beaucoup de questions se posaient dans sa tête. Il en était de même pour la petite fille aux lunettes. Elle s’expliqua donc :

“Je pense que cette attaque de loup-garou n’est pas due au fruit du hasard, elle soupira, en effet plus tôt dans la journée, j’ai croisé un homme vêtu d’une cape noire, et je l’ai vu faire tombé un collier avec une photo accrochée, cela devait être une photo de sa femme. J’ai voulu lui rendre, mais il avait disparu. Je pense qu’il est revenu la chercher ce soir… Je suis désolée, j’ai fait le rapprochement seulement lorsqu’il avait fuit après votre coup de feu monsieur Lupin.”

Elle se mis en face de la fille : “Maintenant… c’est à votre tour de vous présenter, et de vous expliquer, concernant cette petite transformation…”

Un silence revint dans la salle, jusqu’à ce que notre hôtesse daigne enfin à ouvrir la bouche…

" Je me nomme Anna Liaomasis, j'ai quitté mon pays d'origine et voyagé un peu partout. Depuis deux ans je vis dans ce cimetière et l'entretient, car les Hommes l'ont abandonné et n'ont pas de respect pour les mort. Ce qui est au delà de leur mémoire ne les intéresse plus et ils bâtissent plus près. Mais bon je m'égare. Je ne m'expliquerais pas sur le fait de cette transformation, car cela ne vous regarde pas. Je ne vous demande pas de dévoilé les faces cachés de vos personnalité alors ne me demandé pas de dévoilé les miennes."

Voilà les seules informations que Yoko a pu tirer de l'hôtesse. Mais le souci, c'est qu'elle avait raison, personne n'a demandé a Yoko, ni a Arsène, de dévoiler leur vie, alors pourquoi elle le ferait ? Yoko sentait une colère venant le Lupin, elle trouvait ça futile et inutile, car les démons sont comme cela et on ne peut rien y changer… C'est alors qu'elle remarqua que celui-ci ferma les yeux et se calma… A quoi pouvait il penser ? A une chose vraiment stupide car vu le sourire d'abruti qu'il avait, cela ne pouvait pas être une chose intelligente. Il ouvrit donc les yeux et remercia Anna de sont accueil. Il se retourna ensuite face a Yoko et lui dit :

« Si vous possédez toujours le collier du monstre vous êtes en danger. Il doit roder dans les alentours nous devons être méfiant et vous en particulier. »

Comme si elle ne le savait pas… Yoko acquiesça et sorti le collier de sa poche quand tout à coup, un grincement sordide se fit entendre et des bruit de pas claquèrent comme si la personne boitait. Yoko posa le collier sur la table, se va et alla en direction de son cercueil. “Quand on parle du loup…” dit-elle. Yoko Sortit le revolver chargé de balles d'argent et tourna face a la porte. Elle aperçu Lupin entrain de sortir son calibre et Anna elle par contre ne fit rien et resta assise. La porte s'ouvrit alors et un homme caché par une grande cape noire fit son apparition…

Yoko se leva et sortit le revolver aux balles d’argent de son cercueil, par réflexe Arsène sortit son petit calibre et tout en sachant qu’il ne serait d’aucune utilité, enleva la sécurité.
Même sous forme humaine le nouvel invité était monstrueux. Son visage était barré par d’épais sourcils, de touffus favoris lui descendaient sur les joues et ses dents avaient gardé leur côté tranchant de la bête. Il ne parla pas, mais grogna. Ce genre de chose ne pouvait donc pas s’exprimer normalement ? Sans être menaçant ? Franchement, les monstres de nos jours, c’est n’importe quoi !

Tous près au combat, ils attendaient. Tous ? Ah non pas tous. Madame Anna n’avait pas daigné lever son délicat postérieur de sa chaise. Elle restait là à regarder le monstre. La blessure qu’elle lui avait si gentiment faite gouttait sur le sol de la crypte. Le jeune Français avait envi de l’attraper et de la secouer de toutes se forces en le demandant qu’est-ce qu’elle faisait, mais il se retint. D’une voix calme et ferme, elle menaça alors le loup-garou. Et allé, encore un petit coup de « je suis trop forte ». Sur ordre de la grande prêtresse Anna, la petite Yoko lança le « marqueur » à la bête. Celle-ci remonta lentement, comme si elle craignait la fureur de notre hôtesse. Elle n’avait pas fini de se vanter de son petit exploit et sa supériorité sur les humains, notre chère Anna.

Le plus important était que le monstre soit parti. Arsène alla refermer la porte et tourna la clef. Lorsqu’il se retourna un vieux tissu avait été lancé à ses pieds. Qu’est-ce que ça voulait dire ? Qu’il devait essuyer le sang ? Lui ? Arsène chercha Anna du regard. Celle-ci toujours assise ne le regardait pas. Le gentleman hésita, puis passa au-dessus du chiffon. Il était un gentleman après tout ! Il n’allait pas se mettre à obéir aux ordres d’une petite peste !. Si tant est que le chiffon était bien pour lui.

Il revint s’asseoir sans dire un mot. L’atmosphère reprit son aspect lourd et sordide. Les yeux clos, Arsène repartit quelques instants avec ses lapins. Jusqu'à ce qu’il fût à nouveau interrompu…

L’étrange homme, vêtu d’une simple cape noire souffrait de la blessure provoquée par Anna. Il était évident que c’était un loup-garou débutant, car il n’arrivait pas a maintenir sa forme humaine parfaitement, il grognait bizarrement et méchamment. Pendant que mademoiselle Anna ordonna fermement au monstre de sortir de chez elle,Yoko se dirigea vers la table et lui lança le bracelet. L'homme-loup le rattrapa, et la regarda avec ses yeux rouge sang, il ressortit de la crypte tout en boitant, collier à la main. Yoko savait qu'il l'attendait en haut. Néanmoins elle ne s'en inquiété pas. Elle rangea le revolver dans sa poche et se rassis. Lupin alla fermer la porte a clé, et lorsqu'il s'apprêtât a revenir s'asseoir il fut perturber par un bout de chiffon qui était tombé par terre. Tout en restant muet, il retourna s'installer a côté de la jeune fille aux lunettes. Un silence retomba ensuite, Yoko le rompit à nouveau et dit :

“ Il m'attend là-haut, c'est certain, je ne sais pas comment je vais sortir d'ici… Seulement je ne souhaite pas rester ici toute ma vie, même si cet endroit est charmant mademoiselle Anna. Il en est surement de même pour vous monsieur Lupin. Auriez-vous un moyen pour sortir d'ici? Elle regarda Anna, sans le tuer bien sûr, ce monstre est peut-être horrible mais il n'en reste pas moins un être humain. J'ai ici une fiole qui contient un peu de sang de cette bête, il pourrait peut-être nous servir…”

Yoko posa la fiole sur la table, et se réinstalla sur sa chaise. Elle tourna son regard vers Lupin et ensuite croisa celui de Anna. Il était évident que la fille aux lunettes cherchait une réponse venant de quelqu'un. Yoko réfléchissait de son côté pour trouver une solution pour pouvoir sortir de la crypte et donc du cimetière, quand une des deux personne daigne enfin à ouvrir la bouche.

(désolé du retard >< mais dimanche je n'ai pas pu finir le texte car il y a eu un orage et je n'ai pas pu allumer l'ordinateur.)

Assis sur sa chaise Arsène avait complètement déconnecté de la réalité. Il réfléchissait. Plus il regardait Anna, plus il se sentait mal à l'aise, voire sur la défensive. Pourtant cela n'était pas du tout son genre. Humaine ou pas, Lupin restait toujours galant, toujours aimable avec les femmes, alors pourquoi pas avec Anna ? Il frissonna. Quelque chose n'allait pas. Un sortilège ? Non, ces sentiments ne s'étaient installés que depuis ce sourire maquiavelique avant le repas. Lorsqu'il était entré il se sentait bien... Qu'est-ce qui lui était arrivé ?

Il jeta un coup d'oeil rapide à Yoko. La marchande semblait se porter à merveille. Elle parlait d'ailleurs sans crainte de son ami le loup-garou qui l'attendait au-dessus. Arsène crut comprendre qu'elle voulait le combattre, non le sauver plutôt. Qu'elle gentille fillette, il faudra qu'il songe à lui rendre visite si elle a un magasin en ville. Soupirant, le gentleman leva les yeux au ciel. Était-il le seul à subir ce phénomène ? Ou deviendrait-il tout simplement psycopathe ? Non, il fallait qu'il raisonne calmement. 

Un lapin, deux lapins, trois lap... 

Il se redressa brusquement et regarda Anna. Celle-ci répondait à la petite Yoko, lui assurant que tuer le loup-garou était la seule solution pour la sauver. Elle n'allait pas chercher bien loin. Mais ce n'était pas ses propos qui dérangeait le cambrioleur, c'était son phsysique. Non pas qu'elle soit laide, loin de là, elle avait un charmant visage et de très beaux yeux, mais elle lui ressemblait. De profile surtout, c'était son portrait craché. Le portrait de cette sorcière, la comtesse de Cagliostro, qui avait manipulé et détruit la vie du gentleman quelques années auparavant. 

Voilà d'où venait son mal aise et sa méchanceté envers la jeune fille ! Comment n'avait-il pas pût s'en rendre compte plus tôt ! Quel idiot il faisait, il avait agit à la manière d'un gougeat avec cette demoiselle pour la simple raison qu'elle ressemblait au monstre qui hantait encore ses cauchemars. Il devait s'excuser. Il s'apprêtait à demander pardon à Anna, lorsqu'une terrible idée lui vint à l'esprit. Et si elles étaient de la même famille... La comtesse était encore vivante, il n'y avait aucune doute là dessus, et il était probable qu'elle cherchait toujours à le retrouver. Si jamais Anna lui apprenait qu'il était en visite à Londres tout ses plans tomberaient à l'eau. Il ne prendrait jamais le risque de rejouer avec une telle créature. Inquiet pour la suite des événement il rattrapa le bras d'Anna qui s'en allait dormir, et d'une voix moins assurée que d'habitude, il lui posa la question qui dévoraient ses pensées.

" Miss Anna, connaisez vous une certaine comtesse de Cagliostro ? "

La jeune fille du nom d'Anna était vraiment bizarre. On aurait dit qu'elle n'avait pas de sentiments et qu'elle ne faisait pas la différence entre la vie et la mort.
Yoko lui avait demandé une solution pour pouvoir sauvé l'homme qui avait succombé à la malédiction du Loup-Garou, et aussitôt, celle-ci lui répondit qu'on ne pouvait que le tuer, c'était la seule solution. Tuer ou être tuer, c'était ce qu'elle pensait, c'est tout du moins ce que Yoko se dit.
Les démons avait vraiment une drôle de manière de penser… C'est alors que Anna se leva, sous prétexte d'être fatiguée, et s'apprêtât à aller dormir, lorsque Lupin lui attrapa le bras, il avait un air bizarre. On aurait dit qu'il était effrayé ou quelque chose comme ça… Il questionna alors la jeune Anna :


" Miss Anna, connaisez vous une certaine comtesse de Cagliostro ? "

Cagliostro… Ce nom lui disait quelque chose, Yoko était plongée dans ses pensées, la comtesse de Cagliostro ne lui est pas inconnu. Peut-être l'avait elle déjà rencontrée auparavant ? Non… elle n'en a pas souvenir… néanmoins ce nom lui titille la mémoire. C'est alors que Yoko ce souvint, cette comtesse Cagliostro, une personne lui en avait parlé, c'était un homme dont le nom ne lui reviens plus… Il paraît que cette femme est la fille du célèbre Joseph Balasmo, et qu'elle à eu recoure au secret de longue vie et de jeunesse par le biais de l'alchimie, secret dévoilé par son père.
Yoko ignorais qu'une personne comme Lupin l'avait connu. Bref ce n'étais pas vraiment le moment de se lancer la dedans, un Loup-garou était juste au dessus et il attendait son quatre heure, pour rester en vie, Yoko devait tuer un homme innocent, victime d'une malédiction. Il doit bien avoir un moyen de sauver cet homme… Yoko réfléchissait mais le nom de Cagliostro lui trottait dans la tête. Pourquoi perturbait-elle autant ce Lupin, pourquoi cette question maintenant? … Yoko s'intéressât alors à cette histoire et attendait la réponse de la jeune fille, même si elle s'attendait à une réponse simple, car depuis le début, Anna se contentait de répondre un minimum à toutes les questions qu'on lui avait posé.

(PS : Lupin j'ai dit des choses sur Cagliostro, mais si j'ai dit des choses fausses, préviens moi tu en connais plus que moi sur ce sujet =P)